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OHCHR

Le projet de la Compassion House est financé par le . Ce fonds, qui est géré par le HCDH, aide des centaines de milliers de personnes réduites en esclavage, comme Mo, en accordant des subventions à des organisations qui apportent une aide directe aux victimes sur le terrain.

Le projet Rary Aro Mada, à madagascar, en soutien à la protection des jeunes défenseurs des droits de l’homme et consolidateurs de la paix, vient d’entamer sa seconde phase avec la mise en place des observatoires régionaux des droits de l’homme.

Dans les régions d’Och et de Djalal-Abad, au Kirghizistan, un programme de stages conçu par le (HCDH) a permis d’élargir les possibilités d’accès à la fonction publique pour les minorités ethniques, les femmes et les personnes handicapées.

Nataliia, une spécialiste des droits de l'homme au sein de la recueille auprès des personnes délacées des informations de première main sur les allégations d'atteintes aux droits humains internationaux et de violations du droit humanitaire résultant de l'attaque armée de la Fédération de Russie contre l'Ukraine.

Le centre médical Karibuni Wa Mama (Bienvenue aux mères) aide de nombreux survivants à guérir de nombreuses blessures, physiques et psychologiques, et va encore plus loin dans la guérison des survivants. Le centre est géré par l'ONG Solidarité féminine pour la paix et le développement intégral (SOFEPADI), fondée il y a 20 ans par 24 femmes à Bunia, République démocratique du Congo pour faire campagne pour la paix et promouvoir l'autonomisation des femmes et les droits humains.

Les jeunes nous conduisent vers un monde sans peur. Ensemble, les jeunes se battent pour un monde sans pauvreté, racisme, sexisme ou discrimination contre les personnes handicapées et contre toute forme de violence, d’inégalité ou de discrimination. Pour les jeunes LGBTIQ+, plus susceptibles d’être confronté(e)s aux discriminations, il s’agit d’une lutte pour leur survie. Avec beaucoup de courage et de résilience, les jeunes personnes LGBTIQ+ œuvrent au changement, se battent pour un avenir sûr et respectueux où notre belle diversité humaine est valorisée. Ensemble, nous pouvons faire de cet avenir une réalité : avec la #JeunesseEnAvant, tout est possible !

Chaque être humain mérite la liberté d'être simplement lui-même, sans être confronté à la violence et à la discrimination. Rejoignez l' et le pour créer un avenir sans préjugés pour les migrants.

« L’eau est l’élément vital de l’être humain et la source de vie sur terre », a déclaré le , David E. Boyd, lors de la présentation de son dernier rapport au Conseil des droits de l’homme à Genève, en Suisse. Ce rapport décrit les causes et les conséquences de la crise mondiale de l’eau et centre son attention sur les effets négatifs qu’ont la pollution de l’eau, la pénurie d’eau et les catastrophes liées à l’eau sur l’exercice de nombreux droits de l’homme, notamment les droits à la vie, à la santé, à l’eau, à l’assainissement, à l’alimentation, à un environnement sain, à un niveau de vie suffisant, au développement, à la culture, ainsi que sur l’exercice des droits de l’enfant.

 

 

À l’occasion de la Journée des droits de l’homme ce 10 décembre, les Nations Unies ont appelé à « agir ensemble » pour mettre les droits humains au premier plan de la lutte contre la pandémie de COVID-19 et pour reconstruire le monde en mieux.

Les découvertes et les avancées scientifiques doivent être partagées. Tel est le sens de la Déclaration en faveur de la « science ouverte » signée conjointement le 27 octobre par l’Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture (), l’Organisation mondiale de la Santé () et le Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme (). L’épidémie de COVID-19 démontre le besoin urgent de renforcer la coopération scientifique et de garantir le droit fondamental à l'accès universel au progrès scientifique et à ses applications.

 

Les recommandations de la Coalition des villes pour les droits numériques peuvent orienter les responsables dans leur utilisation des technologies face à des crises comme la COVID-19.

Le Bureau du Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l'homme (HCDH) au Mexique travaille sans relâche pour fournir des informations fiables et précises sur le virus, les mesures d'urgence et les problèmes liés aux droits de l'homme qui en découlent. Gabriela Gorjón, fonctionnaire de l'information pour le Bureau, aide à créer des campagnes d'information interrégionales durant la pandémie de COVID-19, en faisant la distinction entre les faits et la fiction.