UNDT a soutenu que ce n'était que lorsque le requérant a appris l'identité du candidat retenu qu'il aurait raisonnablement pu appréhender qu'il y avait des motifs pour un tel examen. Le temps se déroule donc à partir du 2 mars 2008. UNDT a jugé que le délai de dépôt de l'appel était passé à partir du moment où le demandeur a découvert l'identité de la personne qui à son tour a donné naissance à son appréhension qu'il avait des motifs d'appel. En conséquence, sa demande de révision était à temps et son appel est à recevoir.
Une demande de révision administrative ou d'évaluation de la gestion est obligatoire à l'exception des cas disciplinaires. Il ressort clairement des soumissions du demandeur selon lesquelles il était bien conscient que la décision de mettre fin au paiement de son salaire et la décision de ne pas renouveler sa nomination sont deux décisions administratives distinctes. Le demandeur n'a pas demandé d'examen administratif ou d'évaluation de la gestion de la décision de ne pas payer son salaire. Résultat: la demande n'est pas à recevoir.
Les cas de JAB transférés sont régis par la loi UNDT. Les décisions du Tribunal administratif sur des circonstances exceptionnelles sont erronées et ne doivent pas être suivies. L'ignorance de la loi non pertinente. Lorsque la loi UNDT est ambiguë, l'interprétation devrait préserver les droits et maintenir la justice en ce qui concerne la langue. Résultat: L'appel a été soumis dans les délais et est à recevoir.
L’intimé soutient que la décision contestée a été exprimée dans une lettre datée du 3 août 2001 et que la réclamation est donc dérangée comme la demande du demandeur de révision administrative, datée du 2 mai 2005, a été déposée hors du temps. La requérante affirme que sa demande est à recevoir, car la décision finale soumise à l'appel a été exprimée dans la lettre du haut-commissaire aux droits de l'homme datée du 30 mars 2005. UNT a conclu que la décision contestée avait été prise le 3 août 2001 et que le demandeur avait été informé De celui-ci, au plus tard, au plus tard le 15 avril 2002...
Le délai de demande d'une évaluation de la gestion dans ce cas est spécifié dans la règle 111.2 (c) du personnel. Cette règle prévoit qu'une demande d'évaluation de la gestion ne doit pas être créable par le Secrétaire général à moins qu'elle ne soit envoyée dans les 60 jours suivant la notification de la décision administrative contestée. Le Secrétaire général est en mesure d'étendre cette limite de délai en attendant les efforts de résolution informelle par le Bureau du Médiateur. Dans ce cas, il n'y a aucune preuve que les parties ont soumis l'affaire au Bureau du Médiateur pour médiation...
Offre de règlement v. Évaluation de la gestion: l'offre de règlement de l'intimé a été clairement et sans équivoque «privilégiée et confidentielle à des fins de règlement uniquement» (l'accent sur l'original). L’indication «à des fins de règlement uniquement» dans les capitales de bloc en haut de la lettre n’a laissé aucune place à l’interprétation quant aux objectifs de la lettre, qui n’était pas de répondre à la demande du demandeur d’évaluation de la direction. Incohérence entre l'article 8.1 (d) (i) du statut et du personnel de la Règle 11.4 (a). Conformément à l'art des statuts UNDT. 8.1...
Le demandeur a rejoint la Direction exécutive du comité de lutte contre le terrorisme (CTED) des Nations Unies en septembre 2005 sur un contrat de deux ans en tant que responsable juridique de niveau P-4. Entre juillet 2006 et janvier 2007, la requérante a été admise dans plusieurs hôpitaux pour recevoir un traitement lié à l'alcool et, en janvier 2007, elle a été évacuée médicalement dans son pays d'origine et par la suite placée en congé spécial sans salaire. Le 1er août 2007, la requérante a été informée que son contrat ne serait pas prolongé au-delà de sa date d'expiration du 2 septembre...
Le tribunal constate que la demande n'est pas à recevoir car la décision contestée n'est pas une mesure disciplinaire au sens de la règle 11.2 b) du personnel et en conséquence les limites applicables en vertu de l'art. 8.1 (d) (i) du statut du tribunal aurait dû être respecté. Il découle clairement de la règle 11.2 (b) du personnel que l'exemption de l'exigence de demander l'évaluation de la direction d'une mesure disciplinaire ne s'applique qu'aux mesures disciplinaires imposées à la suite de l'achèvement d'un processus disciplinaire.
Le Tribunal observe que les réclamations du requérant concernant la décision de prendre en considération les événements après la date du 31 mars 2010 et la décision de ne pas lui permettre de réfuter son évaluation de la performance est devenue sans but et il considère qu'il n'a pas montré qu'il souffrait toujours de blessure En raison de ces décisions inversées. Il note en outre que le processus de réfutation est toujours en suspens et rejette donc comme prématuré les réclamations du demandeur concernant la décision d'appliquer ST / AI / 2002/3 et la décision de réaliser une seule évaluation...
Le Tribunal a constaté que la demande était irrécouvrable au motif que: (1) la décision du 28 avril 2011 n'était pas une décision administrative appelable; (2) le tribunal n'était pas compétent pour examiner la légalité de la décision ultérieure sur l'admissibilité du demandeur à considérer la conversion car elle n'a pas demandé d'évaluation de la gestion de cette décision; et (3) même en supposant que la décision du 28 avril 2011 était une décision administrative soumise à l'appel, il s'agissait simplement d'une décision confirmative et la requérante ne l'a pas contestée dans les délais...