Unat n'a pas été persuadé que Undt ait commis une erreur dans son jugement. Unat a soutenu qu'au moment de la réception de son offre de règlement, le délai de déposer la demande à UNT avait déjà fonctionné pendant environ trois semaines et rien n'a empêché l'appelant de déposer sa demande ou de demander une dérogation ou une prolongation du délai . L'UNAT a jugé que la suspension exceptionnelle des délais prévus en vertu de l'article 8, paragraphe 1, du statut de l'UND et de la règle du personnel provisoire 11. 1 n'a appliqué qu'à la résolution informelle des différends menée par le Bureau du...
Temporel (ratione temporis)
Unat a considéré un appel de l'ordonnance n ° 50 de l'UNT (GVA / 2010) par le Secrétaire général. Unat a jugé que la question considérée était réglée, car UNAT avait constamment jugé que UNDT n'avait aucune juridiction pour renoncer aux délais pour l'évaluation de la gestion ou le révision administrative. Unat a jugé que Undt avait commis une erreur sur une question de droit pour déterminer qu'il avait le pouvoir de renoncer aux délais pour un examen administratif. UNAT a autorisé l'appel et annulé l'ordonnance UNDT.
Unat a jugé que l'UNRWA DT avait correctement rejeté la demande comme non à recevoir pour être barré dans le temps. Unat a jugé que l'UNRWA DT avait correctement constaté que la demande non à recevoir ratione materiae puisque l'appelant n'avait pas contesté de décision administrative et avait déposé son appel à tort auprès de la Commission des appels conjoints internationaux. UNAT a rejeté l'appel et a confirmé le jugement de l'UNRWA DT.
Unat a jugé que, lorsque l'appelant a contesté avant UNADT sa séparation de l'organisation, il aurait également dû soumettre la demande de paiement d'une indemnité de résiliation, pour pouvoir le récupérer s'il n'a pas réussi dans la première partie de sa demande. Unat a jugé que la décision de l'unité d'évaluation de la gestion de considérer la demande de l'appelant non à créance car le délai était correct. Unat a soutenu que, même si l'appelant a revu la question de sa séparation à plusieurs reprises dans le cadre de l'ancien système, il aurait pu être malavisé pour croire qu'il pouvait...
Unat a considéré un appel du secrétaire général. Unat a jugé que UNDT, en vertu de l'article 8.3 de sa loi, était autorisé à renoncer aux délais de dépôt de demandes dans certaines situations, mais que le membre du personnel n'avait pas soumis de demande écrite de renonciation et à justifier des circonstances exceptionnelles. Unat a jugé que UNDT ne pouvait examiner si des circonstances exceptionnelles existaient à moins que le personnel n'ait soumis une demande écrite de renonciation préalable. Unat a jugé que UNDT avait interprété les articles 19 et 35 de l'UNDT ROP d'une manière qui était...
Unat a jugé que UNDT avait correctement établi que le silence de la gestion du PNUE constituait une décision administrative implicite et que cette décision a été prise le 31 août 2009. UNAT détenait la demande d'évaluation de la gestion de l'appelant et que la demande était donc, donc , pas à recevoir. UNAT a rejeté l'appel et a confirmé le jugement de l'UND.
Unat a jugé que l'appel était sans fondement et que la demande d'évaluation de la gestion avait été déposée intempestive. Unat a jugé que l'appelant n'avait pas démontré que des efforts de résolution informels avaient été déployés, ce qui pourrait prolonger le délai. Unat a noté que l'appelant n'avait pas demandé une telle extension du délai. Unat a jugé que UNDT avait correctement décidé que la demande d'évaluation de la gestion n'était pas à recevoir car il était barré. UNAT a rejeté l'appel et a confirmé le jugement de l'UND.
Unat a rejeté la demande d'audience orale, car il n'y avait pas besoin de clarifier davantage les questions résultant de l'appel. Unat a jugé qu'il avait compétence en question pour entendre l'appel et que l'appel était à recevoir. Unat a jugé que UNDT avait correctement conclu qu'il n'avait aucune compétence en matière de recettes pour recevoir la demande parce que la demande a été déposée devant le mauvais tribunal et la demande aurait dû être déposée avant Unrwa dt. Unat a jugé que UNDT avait correctement conclu qu'il manquait de compétence en matière de recevoir la demande parce que la...
En ce qui concerne les allégations selon lesquelles undt a commis une erreur en droit, en fait et en procédure et n'a pas exercé sa juridiction concernant ses allégations de discrimination, Unat a jugé que le fardeau était sur l'appelant pour établir que la preuve orale et documentaire, si elle était admise, aurait eu a conduit à différentes conclusions de fait et a changé le résultat de l'affaire. Unat a jugé que UNDT n'avait pas commis une erreur en rejetant les allégations de l'appelant selon lesquelles elle avait été soumise à une discrimination en raison du genre ou en fonction de ses...
Unat a jugé qu'il n'était pas contesté que l'appelant n'avait soumis aucune demande d'évaluation de la direction avant plus d'un an après avoir été informé qu'il n'avait été sélectionné pour le poste en question. Unat a jugé que l'UNDT, en vertu de l'article 11.1 de la loi UNDT, était obligé de rendre un jugement par écrit, indiquant les raisons, les faits et la loi sur lesquels il était fondé. Unat a jugé que les décisions de l'UNDT, selon lesquelles l'appelant avait été correctement signifiée par écrit en conformité avec l'ancien règlement du personnel 111.2 et que l'article 8.3 a interdit à ...