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Le requérant ne conteste pas le fait qu'il a pris connaissance de la décision attaquée au plus tard le 31 décembre 2021, lorsqu'il a cessé ses fonctions, et qu'il a demandé l'évaluation par la direction de la décision attaquée le 15 avril 2023, soit plus d'un an après le délai légal.

Pour justifier l'introduction tardive de sa demande de contrôle hiérarchique, le requérant invoque son état de santé. Le Tribunal n'est cependant pas compétent pour "suspendre ou supprimer les délais de contrôle hiérarchique" (art. 8.3 de son Statut).

Par conséquent, le Tribunal a estimé que la demande de...

Le Tribunal est saisi d'une requête dans laquelle une fonctionnaire conteste la résiliation de son engagement permanent et sa cessation de service en raison de performances insatisfaisantes. Les éléments de preuve montrent que la performance de la requérante a été jugée « partiellement conforme aux attentes » ou « ne répond pas aux attentes en matière de performance » depuis 2015, à l’exception d’un cycle au cours duquel elle a « pleinement satisfait » aux attentes. Le requérant n’a réfuté qu’une seule de ces évaluations de performance, qui a toutefois été confirmée par le jury de réfutation...

La requérante a commis une erreur en estimant que le BSCI ne faisait pas partie de l'Administration et que sa décision ne constituait pas une décision administrative définitive susceptible d'être contestée. En effet, le BSCI fait partie du Secrétariat. Il « opère sous l’autorité » du Secrétaire général, tout en conservant son « indépendance » opérationnelle. En conséquence, les décisions prises par le BSCI peuvent constituer, en fait, une décision administrative définitive.

Le fait que le requérant ait présenté deux rapports, l'un au BSCI et l'autre à l'Administration, n'obligeait aucune...

Il incombe à la requérante d'alléguer et de prouver que sa plainte n'a pas été traitée conformément aux procédures applicables et/ou qu'il n'y a pas eu d'évaluation correcte des éléments de preuve pertinents et disponibles, ce qui a conduit à une décision manifestement déraisonnable.

Après un examen minutieux du dossier et des éléments de preuve dont il dispose, le Tribunal n'a identifié aucune irrégularité de procédure commise par le BSCI dans son évaluation préliminaire, ni aucun acte répréhensible. Au contraire, le Tribunal estime que la décision de classer la plainte sans suite était bien...

La demande de contrôle hiérarchique présentée par le requérant le 15 novembre 2021 contre l'inéligibilité à l'allocation scolaire des ressortissants français résidant en France voisine et servant à ³Ò±ð²Ôè±¹±ð était prescrite. En tant que tel, cet aspect de la requête n'est pas recevable ratione materiae. Néanmoins, compte tenu des circonstances de l'espèce, le refus de l'Administration du 22 septembre 2021 de la demande d'allocation scolaire 2020/2021 de la requérante constitue une nouvelle décision administrative. En tant que tel, le délai de 60 jours pour demander l'évaluation de la gestion de...

Le Tribunal a évalué les preuves recueillies par les enquêteurs concernant chaque incident et a conclu que, dans la plupart des cas, il n'y avait aucune preuve directe ou corroborante de harcèlement ou de harcèlement sexuel, et que les enquêteurs avaient fondé leurs conclusions uniquement sur le récit de V01. Étant donné que presque toutes les preuves à l'appui de la conclusion de mauvaise conduite proviennent du témoignage de V01, par opposition à celui du requérant, l'établissement de la crédibilité de V01 est un exercice essentiel pour un jugement approprié de l'affaire.

Cependant, l...

Ayant reçu la notification de la mesure disciplinaire le 20 mars 2023, le requérant aurait dû déposer sa demande au plus tard le 19 juin 2023. Les preuves au dossier montrent cependant que le requérant n'a déposé sa requête que le 21 juin 2023.

Dans ses observations datées du 17 juillet 2023, le requérant reconnaît son retard et demande au Tribunal de recevoir exceptionnellement sa demande pour plusieurs raisons. Ces raisons ne sont pas étayées par des preuves et le requérant n'a pas expliqué comment les difficultés alléguées ont eu un impact sur sa capacité à déposer sa demande dans les...

La recevabilité de la requête

Après avoir examiné la demande dans son intégralité, le Tribunal note que le requérant a identifié la décision du 1er octobre 2021 comme étant la décision administrative finale, et que dans sa demande d'évaluation de la gestion, il a explicitement mentionné la décision du 1er octobre 2021 comme étant la décision à évaluer.

Compte tenu de la différence entre l'élément fondamental des décisions du 12 août 2021 et du 1er octobre 2021, à savoir le montant du trop-perçu à recouvrer, le Tribunal ne peut que conclure que la décision du 1er octobre 2021 constitue une...

En tant que titulaire d'une offre d'affectation d'un Volontaire des Nations Unies, le requérant ne peut pas introduire une requête devant le Tribunal, car il n'est ni un membre du personnel ou un ancien membre du personnel des Nations Unies, ni une personne faisant des réclamations au nom d'un membre du personnel des Nations Unies frappé d'incapacité ou décédé.

Deuxièmement, il n'y a aucune preuve que le requérant a soumis une demande d'évaluation de la gestion en temps voulu.

Par conséquent, la demande n'est pas recevable reatione personae et ratione materiae.

Le Requérant conteste essentiellement l’exécution par l’Administration du jugement Ozturk 2018-UNAT-892, c’est-à-dire le remboursement par l’Administration de 41 173 USD effectué le 7 mai 2019 pour l’excédent de salaire déduit conformément à une ordonnance judiciaire relative à la pension alimentaire pour enfants.


Bien que le Requérant ait cherché à identifier la réponse par courrier électronique de l’Administration de la MINUK datée du 19 janvier 2023 comme étant une décision contestée, ce courrier électronique ne constitue qu’une simple réitération de la décision de l’Administration du 7...