La pandémie de Covid-19 a eu un effet perturbateur sur les marchés des drogues. Les voyages internationaux ayant été fortement réduits, les producteurs ont eu du mal à mettre leurs produits sur le marché.
Drogue et crime
Évaluation des risques de corruption au sein du Parc national de la Garamba
La corruption joue un rôle majeur dans le trafic d'espèces-clés.
Un nouveau rapport de l’OICS, l’Organe international de contrôle des stupéfiants met l’accent sur les flux financiers illicites et les liens qu’ils entretiennent avec le trafic de drogues et à leurs conséquences pour la société.
Compte tenu de la pression énorme exercée sur les ressources publiques par la lutte contre la COVID-19 et le relèvement à la suite de la pandémie, il est urgent de redoubler d’efforts pour mettre un terme à la corruption dans les achats publics.
Le thème de la Journée internationale contre l'abus et le trafic de drogues 2021 vise à combattre la désinformation et à promouvoir le partage des faits sur les drogues - des risques pour la santé et des solutions pour s'attaquer à ce fléau mondial, jusqu'à la prévention, au traitement et aux soins fondés sur des preuves. La campagne met en lumière des statistiques et des données clés tirées du publié chaque année par l'ONUDC. Selon ce dernier rapport, environ 275 millions de personnes ont consommé des drogues dans le monde l'année dernière, tandis que plus de 36 millions de personnes souffrent de troubles liés à la consommation de drogues.
’Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO) estime que le commerce illicite de biens culturels représente près de 10 milliards de dollars chaque année. Ce trafic, alimenté par le pillage parfois très organisé de zones archéologiques, constitue une source de financement majeure d’organisations criminelles et terroristes et dépossède les peuples de leur histoire et de leur identité. Une campagne intitulée Le vrai prix de l’art débute ce mois-ci.
La pandémie de COVID-19 s’accompagne sur les réseaux sociaux d’un déluge d’informations, dont bon nombre se révèlent fausses voire malveillantes. En riposte à ce phénomène qu’elles qualifient d’ « infodémie », les Nations Unies intensifient leur lutte contre les différentes formes de désinformation, tout en combattant l’exploitation de la crise par des cybercriminels.
’ (OICS) présente, ce jeudi 27 février, son pour l'année 2019, qui examine de près la situation en matière de contrôle des drogues dans diverses régions du monde. ’OICS, qui est un organe indépendant chargé de surveiller l’application des conventions internationales des Nations Unies relatives au contrôle des drogues, identifie chaque année dans cette publication clé les tendances dangereuses et les mesures à prendre en la matière.