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Bureau de la Déontologie

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Chacune des trois allégations était grave en soi. La nature complexe des allégations ne permettait pas d'envisager d'autre sanction que la séparation. La politique de tolérance zéro de l'Organisation implique également des sanctions sévères pour ceux qui se livrent au harcèlement (voir, par exemple, le Tribunal d'appel dans l'affaire Conteh 2021-UNAT-1171, paragraphe 41).

Le dossier indique que le décideur a pesé tous les facteurs, tant atténuants qu'aggravants, avant d'arriver à la décision contestée. Etant donné qu'il y avait suffisamment de preuves que tous les facteurs avaient été dûment...

La section 10.1 du bulletin ST/SGB/2017/2/Rev.1 prévoit que l'action ou l'inaction de l'Administration suite à une recommandation du Bureau de l'éthique en vertu de l'article 8 constituera une décision administrative contestable en vertu du chapitre XI du Règlement du personnel si elle a un fondement juridique direct. conséquences affectant les modalités et conditions d’engagement du plaignant. Le Tribunal a donc jugé la requête recevable.

Afin de déterminer si la décision de ne pas mettre en œuvre les recommandations du président suppléant de mars 2020 était arbitraire, le Tribunal a examiné...

Il est courant que les recommandations, actes ou déterminations de l’UNEO soient sans conséquences juridiques directes et ne constituent pas des décisions administratives. Le rejet par l’Administration du rapport du président suppléant de mars 2020 n'a pas constitué une demande adressée au Bureau de l’éthique pour son examen, c’est-à-dire « un examen de l’examen ». Les documents disponibles montrent que, dans le cadre juridique applicable, des échanges ont eu lieu entre l'Administration, le Bureau de la déontologie et le BSCI concernant l'acceptation ou la non-acceptation du rapport et des...

Le Secrétaire général a interjeté un appel.

L'UNAT a estimé que la conclusion selon laquelle il n'y avait pas de lien de causalité entre l'activité protégée de Mme Fosse et le comportement préjudiciable du Secrétaire exécutif était une conclusion qu'un administrateur raisonnable pouvait tirer. La conclusion selon laquelle il n'y avait pas de lien de causalité reposait sur l'enquête du BSCI, ses contacts avec d'autres membres du personnel, les informations documentaires prouvant la relation problématique essentiellement incontestée entre Mme Fosse et le Secrétaire exécutif, la mauvaise...

Inscrit en désaccord et a constaté que les antécédents des représailles antérieurs contre le membre du personnel affectent le principe de la présomption de régularité. À la lumière des circonstances de ce cas particulier, Unat a constaté que l'administration portait l'obligation de justifier la légalité de sa décision d'annuler l'ouverture d'emploi. Unat a donc constaté que l'UNDT a commis une erreur en n'obligeant pas à l'administration à établir sa justification en droit pour l'annulation de l'ouverture de l'emploi. La décision administrative d'annuler l'ouverture d'emploi a été annulée, et...

Unat a jugé que sa nomination avait été résiliée en raison d'un manque de financement; Plusieurs de ses collègues ont également fait résilier leur rendez-vous à durée déterminée pour la même raison en même temps. Unat a jugé que le fait que l'appelant s'était plaint de ses conditions de travail ou a coopéré à toute enquête préliminaire ultérieure sur le harcèlement possible, ne l'a pas expliqué à la fin. Unat a soutenu qu'il n'y avait pas d'erreur réversible sur une partie de l'UNT. UNAT a rejeté l'appel et a confirmé le jugement de l'UND.

UNAT a considéré un appel du Secrétaire général de l'affaire d'indemnisation, un appel de M. Shkurtaj de l'affaire sur la politique d'éthique et un appel à l'appel de M. Shkurtaj de l'affaire d'indemnisation. Unat a jugé qu'un ancien membre du personnel était debout pour contester une décision administrative le concernant si les faits donnant naissance à sa plainte ont résulté de son emploi et qu'il doit y avoir un lien suffisant entre l'ancien emploi et l'action contestée. Unat a jugé qu'un prix de dommages-intérêts était justifié dans les circonstances. Unat a jugé que le montant du salaire...

2011-UNAT-130, Koda

Unat a confirmé le jugement de l'UND. Unat a jugé que l'OIO fonctionne sous «l'autorité» du secrétaire général mais a «l'indépendance opérationnelle». UNAT a en outre noté que, en tant que contenu et procédures d'un rapport individuel, le Secrétaire général n'a aucun pouvoir d'influencer ou d'interférer avec l'OIOS. Unat a jugé que UNDT n'a pas non plus de compétence pour le faire, car elle ne peut examiner que les décisions administratives du Secrétaire général. UNAT, cependant, a noté que dans la mesure où toutes les décisions de l'OIO sont utilisées pour affecter les conditions des membres...

Unat a soutenu que, à l'exception de la propre affirmation de l'appelant, il n'a trouvé aucune preuve montrant qu'il était un véritable dénonciateur. Unat a jugé qu'il ne s'agissait pas d'un cas de représailles à la suite d'un rapport d'inconduite possible, mais plutôt d'un désaccord entre l'appelant et la gestion concernant les questions de travail qui ont été correctement traitées dans le contexte du processus d'évaluation des performances. Unat a jugé que le non-renouvellement du contrat de l'appelant n'était pas des représailles mais sur la base de sa cote de performance qui avait été...

Unat a considéré un appel du secrétaire général. Unat a rappelé que Unat a expressément détenu dans MMATA (jugement n ° 2010-UNAT-092) que l'article 10. 5 de la loi UNT a limité le total de toute compensation à l'équivalent de deux ans de salaire net de base du demandeur, sauf si plus d'indemnisation a été justifié et des raisons ont été prises pour expliquer ce qui rend le cas exceptionnel. Unat a noté que l'affaire était exceptionnelle, notamment une série d'ordonnances de suspension d'action, des conclusions de fait pointant des preuves d'abus d'autorité, de menaces de représailles et d'un...