2015-UNAT-500, Said
L'UNAT a considéré les appels de M. Mr. Said, limité au montant des dommages-intérêts accordés et par le Secrétaire général. Unat a jugé que UNDT avait commis plusieurs erreurs de droit lorsqu'elle a révélé que la décision de l'UNICEF de ne pas renouveler le contrat de M. Said pour une mauvaise performance n'était pas étayée par son rapport d'évaluation des performances (PER) et était illégale. Unat a jugé que UNDT n’ait accordé aucune déférence à la conclusion de l’UNICEF selon laquelle les performances de M. Said étaient médiocres et, au lieu de cela, UNT se sont placées dans le rôle du décideur et déterminé s’il aurait renouvelé le contrat, sur la base du PER. Unat a jugé que UNDT avait commis une erreur de droit lorsqu'elle établit sa propre norme pour la mauvaise performance requise pour soutenir une décision non renouvelable. Unat a jugé que UNDT avait commis une erreur de droit pour constater que l'UNICEF avait ignoré toutes les règles élémentaires d'équité en ce qui concerne la performance et l'amélioration. Unat a jugé que UNDT avait dépassé sa compétence dans la réalisation des questions non soulevées par M. Said. Unat a jugé que UNDT avait commis des erreurs de droit lorsqu'elle a conclu que la décision de l'UNICEF de ne pas renouveler la nomination de M. Said en raison de sa mauvaise performance n'était pas étayée par la sienne et était illégale. UNAT a accordé l'appel du Secrétaire général, rejeté l'appel de M. Said et annulé le jugement de l'UND.
Le demandeur a contesté la décision de ne pas renouveler sa nomination pour une mauvaise performance. UNDT trouvé pour le demandeur et attribué une rémunération.
Ce n'est pas la fonction de UNT pour remplacer sa propre décision à celle de l'administration.