Au Zimbabwe, les populations de nombreuses espèces sauvages ont diminué ces 30 dernières années en raison des sécheresses consécutives, de la perte d’habitat, du braconnage et de la vente de produits dérivés d’espèces sauvages. Parallèlement, les conflits entre l’homme et la faune, qu’il s’agisse des éléphants qui piétinent les cultures des villageois ou des lions et des hyènes qui s’attaquent au bétail des fermiers, continuent de poser de multiples problèmes aux communautés rurales. Découvrez comment une jeune Zimbabwéenne contribue à une gestion durable de la faune sauvage.
FAO
L'agriculture familiale : une voie vers des systèmes agroalimentaires durables
À travers le monde, la production alimentaire est suffisante pour nourrir toute la population. Malgré cela, des millions de personnes souffrent de la faim, un tiers de la nourriture finit dans les décharges et les maladies liées à l'alimentation ne cessent d'augmenter.
Pendant longtemps, les peuples autochtones, en particulier les femmes, ont été exclus du monde de la recherche universitaire et des processus décisionnels.
Qu’il s’agisse d’utiliser des semences indigènes plus résilientes, d’associer les caféiers et les bananiers ou de reconstituer les populations de pollinisateurs, la biodiversité n’est pas un concept abstrait dont débattent les scientifiques et les militants. Elle se retrouve dans un ensemble d’actions concrètes essentielles pour la sécurité alimentaire et l’environnement, que les agriculteurs accomplissent dans leur travail quotidien. En Ouganda, des pratiques agricoles durables enrichissent la biodiversité des champs, ce qui est bénéfique pour l’environnement et les moyens de subsistance.
À Madagascar, plus de 85 % de la population vit de l’agriculture.
«J’aime l’océan», déclare Saiasi Sarau, solide marin fidjien au large sourire. «Il a été bon pour moi depuis que j’ai commencé à pêcher quand j’étais enfant», dit-il en contemplant les eaux calmes du port de Port Louis, la capitale mauricienne. Saiasi Sarau est un observateur des pêches qui passe des mois en mer à enregistrer les prises et les prises accessoires et à recueillir des données biologiques sur les poissons capturés. Ces informations aident les pays à connaître l’état des stocks de poissons. Avec une vingtaine de ses pairs, il a rejoint un atelier sur l’observation scientifique de la pêche en haute mer, organisé par la FAO.
À l’occasion de la Journée mondiale de la radio et des 80 ans de la FAO, nous mettons en lumière un outil puissant mais souvent méconnu : les radios rurales.
Politique de protection des lanceurs d’alerte de la FAO
Tout le personnel de la FAO est tenu de signaler toute violation des règles de l'Organisation et de coopérer avec ses fonctions de surveillance.
Les éleveurs de crevettes en eau saumâtre de l’est du Guyana utilisaient traditionnellement l’eau de mer naturellement apportée par la marée, mais les rendements ont chuté à cause des inondations et des changements dans le régime des vents. Une formation dispensée par l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) et le service des pêches du Ministère de l’agriculture guyanien ont permis d’apporter un soutien supplémentaire. Cette formation a présenté aux pisciculteurs une méthode qui permet d’accroître la production de crevettes par l’augmentation du nourrissage et qui utilise un système commandé de pompage de l’eau de mer dans les étangs.
L’éducation est un droit humain et un moyen de sortir de la pauvreté. Elle est à la base du développement et de la prospérité, et tous les enfants devraient avoir la possibilité d’aller à l’école. Cependant, l’apprentissage est l’entreprise de toute une vie, et l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) offre des ressources qui peuvent vous accompagner tout au long de ce parcours. Que vous souhaitiez en savoir plus sur les créatures marines ou donner à vos enfants la possibilité de découvrir l’importance des arbres, la FAO a la publication qu’il vous faut ! Voici cinq suggestions pour commencer – et il y en a pour tous les goûts !
Deux véhicules à quatre roues motrices dérapent et s’embourbent pour la énième fois. L’équipe, vêtue de jaune fluorescent, renonce finalement à pousser les véhicules et se dirige à pied vers la forêt humide environnante. Il leur faudra deux ou trois heures pour parvenir à leur destination. Mais qui sont ces personnages qui portent ces gilets très visibles? Des gardes forestiers? Des gardes‑moniteurs? Des gardes-chasses? La réponse est peut-être inattendue, mais ce sont en fait des statisticiens. Les cinq statisticiens de cette équipe sont des membres du personnel de la FAO et du principal bureau de statistiques du pays, l’Institut de statistiques et de services d’information géographique du Libéria.
Actions anticipatoires et de réponse aux inondations au Cameroun
En 2024, des inondations dans l’arrondissement de Logone Birni, au Cameroun, ont entraîné d’innombrables dégâts.
Renforcer les capacités et la gouvernance en matière de contrôle alimentaire
Khadiga avait même déjà cuisiné le fruit du jaquier en le mélangeant à toutes sortes d’autres ingrédients pour préparer ses plats de curry. Mais jamais elle n’aurait imaginé qu’il deviendrait un jour l’une des principales sources de revenu de sa famille. Peu de temps après avoir suivi les cours organisés par l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), Khadiga a décidé de tenter sa chance et de lancer sa propre entreprise. Aujourd’hui, elle produit tout un assortiment de produits à base de jaque, notamment des produits marinés, des confitures, des hamburgers, des gâteaux, des pizzas et même du cuir végétal.
Les haricots sont depuis longtemps un aliment essentiel de la vie rurale, un symbole de résilience des populations agricoles. Ils sont souvent associés à des repas modestes mais nourrissants, en particulier pendant les mois d’hiver et les périodes de jeûne religieux. Transmises de génération en génération, les méthodes de culture et de récolte des haricots sont un héritage commun, synonyme de patience, de soin et de labeur. Au cœur de la ville de Berd, en Arménie, trois productrices mettent chacune leurs atouts et leurs expériences singuliers au service de leur collectif, à savoir l’Association des productrices de haricots de Berd. Ce groupe a été formé dans le cadre du Programme d’autonomisation locale des acteurs du développement (LEAD), soutenu par la FAO et le PNUD, et financé par l’Union européenne.