Dans le contexte de la présente affaire, le Tribunal estime que les notifications électroniques de l'UMOJA concernant les relevés de temps et de présence du requérant, qui lui ont été automatiquement envoyées tous les mois pendant la période pertinente de quatre ans, n'étaient rien d'autre que des mises à jour de l'état de ses relevés de congés. Aucune de ces mises à jour ne constituait donc une décision administrative distincte et individuelle au sens de l'article 2, paragraphe 1, point a), de la directive. 2.1(a) du Statut du Tribunal du contentieux administratif contre lesquelles le...
Disposition 11.2
L'obligation d'un fonctionnaire de se conformer aux instructions de son supérieur est au cœur des relations de travail et les tribunaux sont censés faire preuve d'une certaine retenue à l'égard de l'autorité du supérieur, y compris lorsqu'il s'agit de fixer des normes de performance (voir Requérant 2020-UNAT-1030, par. 34).
Le requérant n'a pas démontré de violation procédurale ou substantielle de ses droits. En l'absence de toute preuve que les normes de performance appliquées par l'UNICEF sont manifestement injustes et irrationnelles, le Tribunal ne peut substituer sa décision à celle du...
La demande d'évaluation de la gestion présentée par le requérant le 16 septembre 2023 n'a pas été déposée dans les délais, car elle a été déposée après l'expiration du délai de 60 jours prévu par la règle 11.2(c) du Règlement du personnel. Toutefois, il n'y a pas de question d'autorité de la chose jugée dans le cas présent.
En l'absence d'informations et/ou de preuves supplémentaires, le DSS/SSS a en effet agi dans le cadre de son pouvoir discrétionnaire en vertu de l'article 1.2(c) du Statut du personnel et de l'art. 100.2 de la Charte des Nations Unies, en décidant de ne pas donner suite à la...
Le Tribunal a statué comme suit
1. Dans la mesure où la décision A a déjà fait l'objet de deux arrêts devenus définitifs, cette partie de la requête est irrecevable en raison de l'autorité de la chose jugée.
2. Les recours de la requérante contre les décisions B, C et D, fondés sur sa réclamation du 12 novembre 2020 au titre de l'annexe D, sont irrecevables car prescrits.
3. Les décisions consécutives aux décisions A à D ont toutes été rejetées comme irrecevables parce qu'elles ne pouvaient pas se suffire à elles-mêmes.
Le TANU a estimé que le Tribunal n'avait pas commis d'erreur en concluant que la demande de l'agent n'était pas recevable parce qu'il n'avait pas demandé l'évaluation de la décision contestée par l'encadrement dans le délai légal de 60 jours. Le TANU a déterminé que, puisque l'agent avait été informé les 27 et 28 avril 2022 du rejet de sa demande d'évaluation médicale, il disposait d'un délai de 60 jours à compter de cette date pour introduire sa demande d'évaluation par l'encadrement. Cependant, il n'a soumis sa demande au Groupe du contrôle hiérarchique que le 3 novembre 2022, puis au...
Le Tribunal a estimé que la décision de créer le poste de représentant spécial adjoint (« DSR ») n'a pas eu de conséquences négatives directes pour le requérant, qui est resté employé, avec le même poste et les mêmes attributions ; en d'autres termes, la création du poste de DSR n'a pas affecté le rôle, les fonctions et les responsabilités du requérant.
le rôle, les fonctions et les responsabilités du requérant n'ont pas été affectés.
Le Tribunal a estimé que la requérante n'avait pas réussi à identifier une décision administrative contestable affectant négativement les conditions de sa...
Le requérant a eu la possibilité de compléter sa demande par le préalable obligatoire au dépôt d'une demande auprès de l'UNDT. Il ne l'a pas fait.
Le Tribunal n'est pas compétent pour statuer sur le fond de cette demande, étant donné qu'elle conteste une décision qui n'a pas été soumise à l'évaluation de la direction dans les délais impartis.
Le Tribunal a également examiné le bien-fondé des arguments du requérant en ce qui concerne la légalité de la décision contestée. Le requérant a encouru des dépenses qui lui ont été clairement communiquées comme étant non autorisées avant son voyage. Il n'y a rien dans le dossier qui montre que la décision était entachée d'irrégularité, qu'elle n'avait pas été prise correctement ou qu'elle était...
Le requérant dans cette affaire a eu la possibilité de compléter sa demande avec la condition préalable obligatoire pour le dépôt d'une demande auprès de l'UNDT. Le candidat semble avoir mal compris ce qui constitue une « demande d'évaluation de la gestion ». Il a supposé que le fait de poser des questions sur la procédure au responsable du recrutement, puis au chef du personnel de la mission, constituait une « évaluation de la gestion » aux fins de la procédure devant l'UNDT. Ce n'est pas le cas.
Le TANU a estimé que l'UNDT avait correctement identifié le PNUD comme le défendeur dans la présente affaire, car c'est le PNUD qui gérait le poste de l'agent et qui était donc son employeur. Le TANU a estimé que la demande de l'agent était prématurée parce qu'il l'avait déposée avant d'avoir reçu la réponse de l'évaluation de la gestion, ou du moins avant l'expiration du délai de réception de cette réponse. Le TANU a également conclu que la réponse à l'évaluation de la gestion ne constituait pas la décision administrative contestée.
Le TANU a rejeté l'appel et confirmé le jugement n° UNDT...