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Motif(s)

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UNDT/2024/113, Sellami

L'obligation d'un fonctionnaire de se conformer aux instructions de son supérieur est au cœur des relations de travail et les tribunaux sont censés faire preuve d'une certaine retenue à l'égard de l'autorité du supérieur, y compris lorsqu'il s'agit de fixer des normes de performance (voir Requérant 2020-UNAT-1030, par. 34).

Le requérant n'a pas démontré de violation procédurale ou substantielle de ses droits. En l'absence de toute preuve que les normes de performance appliquées par l'UNICEF sont manifestement injustes et irrationnelles, le Tribunal ne peut substituer sa décision à celle du...

Il n'est pas contesté que le requérant a reçu la notification de la décision contestée le 8 mai 2023 et qu'il n'a demandé l'évaluation de la gestion concernant la décision contestée que le 2 mai 2024, soit environ un an plus tard. Étant donné que la demande d'évaluation de la gestion a été soumise en dehors du délai statutaire de 60 jours stipulé dans la règle 11.2(c) du personnel, la demande n'est pas recevable ratione materiae (voir également Christensen 2013-UNAT-335).

La requête en jugement sommaire du défendeur a été acceptée.

Si la preuve par ouï-dire est, en principe, admissible devant le Tribunal du contentieux administratif, sa force probante dépend des circonstances spécifiques de l'affaire. A cet égard, le Tribunal d'appel a estimé que « les preuves par ouï-dire sont intrinsèquement peu fiables et de peu de poids, à moins d'être substantiellement corroborées, parce que leur valeur probante dépend largement de la crédibilité d'une personne (...) autre que celle qui les a fournies ». (Voir Requérant 2022-UNAT-1187, para. 73.)
En examinant attentivement la requête, il ressort clairement des faits exposés par le...

À titre préliminaire, le Tribunal d'appel a rejeté les demandes d'audience des appelants au motif qu'une audience ne serait pas rapide et qu'à la lumière des observations écrites détaillées, il n'y aurait rien à gagner à entendre les avocats des appelants en personne.

Le Tribunal d'appel a estimé qu'en l'absence d'une promesse expresse de renouvellement des engagements à durée déterminée des requérants, ces derniers n'avaient pas d'espérance légitime de renouvellement de leurs contrats à durée déterminée. Les déclarations donnant des assurances aux membres du personnel de l'UNOPS n'ont pas été...

L’UNAT a estimé que le Tribunal avait eu raison de considérer qu’il existait clairement des éléments de preuve suffisants pour étayer la conclusion de l’Administration selon laquelle les performances du fonctionnaire ne répondaient que partiellement aux attentes et que cette préoccupation lui avait été communiquée. Bien que la confirmation de la notation par le Comité de réfutation et la préparation d'une deuxième évaluation des performances à court terme aient eu lieu après le non-renouvellement, l'UNAT a conclu que ces examens confirmaient néanmoins que l'évaluation informelle préalable de...

L’UNAT a rejeté la demande d’audience de M. Turk et n’a trouvé aucune erreur dans la décision du UNDT de ne pas ordonner la production de documents supplémentaires. L'UNAT a réaffirmé le cadre juridique qui prévoit que les membres du personnel n'ont aucune attente légitime de renouvellement de leur engagement à durée déterminée.

L’UNAT a également confirmé que les tribunaux n’interféreront pas avec le pouvoir discrétionnaire de l’Organisation en matière de décisions de restructuration et qu’ils n’ont pas le pouvoir de réviser les décisions de l’Assemblée générale relatives aux questions...

L'UNAT a examiné un appel interjeté par le fonctionnaire.

L'UNAT a estimé que le Tribunal n'avait pas commis d'erreur de fait en n'ayant pas considéré la cessation de service, mentionnée dans l'avis de cessation de service, comme le motif de la décision contestée ; la mention de la retraite n’avait aucune incidence sur la cessation de service du fonctionnaire. L'UNAT a estimé que la lettre l'informant de l'expiration de son engagement de durée déterminée était conforme à la suppression du poste qu'elle occupait.

L'UNAT a noté que le contrôle judiciaire dans le contexte d'une suspension d...

Le secrétaire général a fait appel.

L'UNAT a estimé que le Tribunal avait commis une erreur de droit et de fait et a pris une décision manifestement déraisonnable en concluant que M. Hossain avait prouvé selon la prépondérance des probabilités que la décision administrative de ne pas renouveler son engagement de durée déterminée avait été motivée par des motifs inappropriés et qu'il avait été victime de discrimination. Les raisons invoquées par l’Administration pour ne pas renouveler l’engagement de durée déterminée de M. Hossain, à savoir la suppression de son poste dans le cadre d’un...

L'UNAT a examiné un appel du Secrétaire général contre le jugement n° UNDT/2021/032. Il a également examiné un appel incident de Mme Hilaire-Madsen, selon lequel le Tribunal aurait dû annuler la décision de non-renouvellement de l’Administration et lui accorder une indemnisation alternative ainsi qu’une indemnisation pour préjudice moral.

En ce qui concerne la légalité de la décision de non-renouvellement, l'UNAT a estimé que dans les circonstances particulières, au moment des faits de la décision de non-renouvellement contestée fin décembre 2018, du point de vue d'un observateur objectif...

Promesse de renouvellement faite au requérant

La déclaration verbale générale faite par le CITO/ASG ne constituait pas une promesse expresse de renouveler l'engagement à durée déterminée du requérant. Elle ne contenait pas les éléments essentiels d'une offre de renouvellement correcte et concrète, tels que la durée de la prolongation et le nom de la personne nommée. La jurisprudence exige en outre que la promesse de renouvellement d'un engagement à durée déterminée soit faite par écrit.

Il n'existe aucune preuve d'un engagement ferme de renouveler l'engagement à durée déterminée du requérant...