Suppression d'un poste
Le requérant a démontré qu'il a postulé sans relâche à des postes et qu'il était qualifié pour un certain nombre de postes dans le cadre de l'exercice de rotation et de réaffectation du personnel d'encadrement (« SSRRE »). Selon le dossier, il a postulé à au moins 11 postes entre 2019 et 2022. Cet élément et les autres facteurs soulevés dans l'affaire ont persuadé le Tribunal d'accorder au requérant deux années de salaire de base net au lieu d'une réintégration.
Le Tribunal a ordonné l'annulation des décisions contestées de ne pas retenir le requérant au service de l'UNICEF et de ne pas le...
À titre préliminaire, le Tribunal d'appel a rejeté les demandes d'audience des appelants au motif qu'une audience ne serait pas rapide et qu'à la lumière des observations écrites détaillées, il n'y aurait rien à gagner à entendre les avocats des appelants en personne.
Le Tribunal d'appel a estimé qu'en l'absence d'une promesse expresse de renouvellement des engagements à durée déterminée des requérants, ces derniers n'avaient pas d'espérance légitime de renouvellement de leurs contrats à durée déterminée. Les déclarations donnant des assurances aux membres du personnel de l'UNOPS n'ont pas été...
Le défendeur s'est acquitté de la charge de la preuve minimale en démontrant que les décisions relatives à la suppression du poste du requérant, entraînant le non-renouvellement de son engagement à durée déterminée et sa cessation de service, étaient légales. Les témoins étaient crédibles, leurs preuves étaient convaincantes, fiables, cohérentes et corroborantes. Ils n'ont pas été contredits de manière significative. Après avoir examiné les témoignages du requérant et de ses témoins, le Tribunal n'est pas convaincu que le requérant a présenté des arguments clairs et convaincants pour renverser...
L'UNAT a examiné un appel interjeté par le fonctionnaire. L'UNAT a estimé que le fonctionnaire s'était contenté de formuler des affirmations générales non étayées selon lesquelles il possédait les compétences et l'expérience requises pour conserver son poste. Le TANU a estimé que, comme l'avait estimé à juste titre le Tribunal, le fonctionnaire n'avait pas réussi à réfuter la présomption de régularité qui découlait de la simple démonstration d'un fondement rationnel à la décision. L'UNAT a constaté que le dossier confirmait qu'il y avait eu une véritable restructuration qui avait conduit au...
Le candidat a été jugé apte à occuper les postes disponibles. En effet, pour un poste vacant, il a été l'un des huit candidats présélectionnés et convoqués à un entretien. En le présélectionnant, l'administration a tacitement reconnu qu'il était jugé apte à occuper le poste ; selon Timothy UNDT/2017/080, en tant que titulaire d'un engagement continu menacé de résiliation, l'administration était obligée à partir de ce moment d'examiner sa candidature sur une base préférentielle et non concurrentielle.
Le Tribunal a estimé que l'administration avait manqué à son obligation de s'efforcer...
Le secrétaire général a fait appel.
L'UNAT a estimé que le Tribunal avait commis une erreur de droit et de fait et a pris une décision manifestement déraisonnable en concluant que M. Hossain avait prouvé selon la prépondérance des probabilités que la décision administrative de ne pas renouveler son engagement de durée déterminée avait été motivée par des motifs inappropriés et qu'il avait été victime de discrimination. Les raisons invoquées par l’Administration pour ne pas renouveler l’engagement de durée déterminée de M. Hossain, à savoir la suppression de son poste dans le cadre d’un...
Promesse de renouvellement faite au requérant
La déclaration verbale générale faite par le CITO/ASG ne constituait pas une promesse expresse de renouveler l'engagement à durée déterminée du requérant. Elle ne contenait pas les éléments essentiels d'une offre de renouvellement correcte et concrète, tels que la durée de la prolongation et le nom de la personne nommée. La jurisprudence exige en outre que la promesse de renouvellement d'un engagement à durée déterminée soit faite par écrit.
Il n'existe aucune preuve d'un engagement ferme de renouveler l'engagement à durée déterminée du requérant...
L’UNAT a rejeté la demande d’audience de l’appelant. Elle a estimé que le fait de l'entendre en personne n'ajouterait rien à son dossier présenté par écrit et qu'une audience orale ne contribuerait pas à un règlement rapide et équitable de l'affaire.
Le TANU a estimé qu'une grande partie des arguments avancés par l'appelant constituaient effectivement une nouvelle soumission de l'affaire soumise au Tribunal, mais qu'il n'a pas accepté.
L'UNAT a constaté que la structure du WSSCC avait été fermée le 31 décembre 2020 à l'instigation de ses donateurs et remplacée par une autre organisation (le...
En l'espèce, le requérant n'a pas demandé le réexamen de la décision contestée par l'évaluation de la gestion, ce qui prive le Tribunal de sa compétence pour examiner cette question plus avant.