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Motifs

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En ce qui concerne la décision de ne pas convoquer un groupe d'enquête, le Tribunal a rappelé sa jurisprudence qui indique qu'une enquête ne peut être entreprise que s'il existe des motifs suffisants de croire qu'un membre du personnel a eu une conduite insatisfaisante. En l'espèce, le Tribunal a conclu que le requérant n'avait pas fourni de motifs suffisants à l'appui de sa demande.

En ce qui concerne la deuxième décision contestée, le Tribunal s'est également référé à sa jurisprudence constante qui indique qu'il n'y a pas de droit à l'allocation de subsistance. Le Tribunal a plutôt observé...

Appealed

Le Tribunal a observé que la lettre communiquant la décision contestée n'indiquait pas si l'Organe consultatif sur les demandes d'indemnisation (« ABCC ») avait pris en compte les circonstances exceptionnelles exposées par la requérante dans sa demande de réouverture de sa demande, qui expliquaient les raisons pour lesquelles elle n'avait pas respecté le délai de soumission.

Le Tribunal a donc estimé que la requérante avait réussi à établir que la décision de ne pas rouvrir sa demande était irrationnelle. Le Tribunal a jugé que la décision contestée était irrationnelle parce que l'ABCC avait...

En ce qui concerne la première décision contestée, le Tribunal a estimé que le droit de connaître le contenu du rapport, bien que résumé, est implicite dans le droit d'un membre du personnel de porter plainte contre des tiers (droit déjà reconnu dans l'affaire Belkhabbaz, UNDT/2021/047 au paragraphe 21) parce que ce droit inclut le droit de connaître les raisons pour lesquelles l'Administration n'a pas sanctionné la personne accusée.

Le Tribunal a donc conclu que le requérant avait le droit de recevoir de l'administration le rapport dans son intégralité, avec des expurgations raisonnables. Il...

L'UNAT a examiné un appel interjeté par le fonctionnaire. L'UNAT a estimé que le fonctionnaire s'était contenté de formuler des affirmations générales non étayées selon lesquelles il possédait les compétences et l'expérience requises pour conserver son poste. Le TANU a estimé que, comme l'avait estimé à juste titre le Tribunal, le fonctionnaire n'avait pas réussi à réfuter la présomption de régularité qui découlait de la simple démonstration d'un fondement rationnel à la décision. L'UNAT a constaté que le dossier confirmait qu'il y avait eu une véritable restructuration qui avait conduit au...

The Tribunal observed that as reflected in the documents on record, the Applicant filed his application on 21 June 2024, but requested management evaluation on 16 August 2024. Furthermore, at the time the Tribunal issued the judgment, the management evaluation response period was still running. It was thus clear that the Applicant filed his application prematurely. Accordingly, the application was rejected as irreceivable. The Tribunal, however, informed the Applicant that he was free to file a new application on the merits, if submitted within the prescribed statutory timelines.

UNDT/2024/050, Nduati

Le Tribunal a observé que, d'après les éléments de preuve figurant dans le dossier, le requérant a reçu la décision contestée le 28 août 2023. Pour respecter le délai de 60 jours calendaires pour demander une évaluation de la gestion, la requérante aurait dû la soumettre au plus tard le 27 octobre 2023. Or, elle l'a soumise le 8 novembre 2023, soit près de deux semaines plus tard. En conséquence, le Tribunal a conclu que la demande de contrôle hiérarchique était prescrite et que, par conséquent, la requête n'était pas recevable ratione materiae. Le Tribunal a rejeté la demande.

Le TANU a noté que l'essence de la décision administrative était que l'agent n'avait pas le droit d'encaisser des congés annuels non utilisés provenant d'un second engagement pris dans les 12 mois suivant l'abandon d'un premier engagement après lequel ces congés avaient été commués.

Le TANU a observé que la demande d'évaluation de l'encadrement formulée par l'agent faisait référence au prétendu "manquement persistant" de l'administration à l'obligation d'indemniser l'agent pour le rachat de ses congés annuels. Le TANU a estimé que cette référence renforçait la conclusion selon laquelle c...

Le Tribunal a rappelé qu'en vertu de l'art. 2.1(a) de son statut, il est compétent pour connaître et juger d'un recours contre "une décision administrative dont il est allégué qu'elle n'est pas conforme aux conditions de nomination ou au contrat d'engagement". Le Tribunal d'appel a expliqué que cette disposition établit une "condition préalable de compétence, à savoir l'impact immédiat, direct et négatif" de la décision administrative contestée sur le membre du personnel.

Après avoir examiné le dossier, le Tribunal a conclu qu'en l'espèce, il n'y avait pas de preuve d'un tel impact négatif...

UNDT/2024/010, Castelli

Le Tribunal a jugé que la décision de modifier le rattachement hiérarchique d'un membre du personnel n'est pas une décision administrative susceptible de recours en vertu de l'article 2(1)(a) du Statut du Tribunal du contentieux administratif. 2(1)(a) du Statut du Tribunal. Le Tribunal a également établi que la décision contestée n'a pas eu de conséquences juridiques défavorables directes sur le contrat de travail du requérant. Le requérant a continué à exercer ses fonctions au niveau P-4. Le seul changement était qu'il rendait compte à des personnes différentes. En conséquence, la requête a...