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UNRWA Directives du personnel

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Le TANU a noté qu'avant que le requérant ne devienne membre du personnel, il avait été employé par l'UNRWA en tant que personnel complémentaire n'ayant pas le statut de membre du personnel et qu'il n'avait droit à aucune prestation au-delà de ce qui avait été établi pour les travailleurs rémunérés à la journée. Le TANU a observé que ni ses contrats de service à la journée ni un échantillon de contrats de service à la journée applicables à l'époque ne mentionnaient le paiement d'une quelconque indemnité à l'expiration.

Le TANU a constaté qu'à chaque expiration du contrat de services journaliers...

Le TANU a estimé que l'ancienne fonctionnaire n'avait aucune espérance légitime de renouvellement de son engagement à durée déterminée, étant donné qu'il n'y avait aucune preuve que l'administration avait fait une promesse expresse qui aurait pu créer une telle espérance. Au contraire, le TANU a constaté que l'administration avait dûment informé tous les membres du personnel concernés, y compris l'ancienne employée, de la date de fin du projet MADAD et qu'elle avait publié 15 postes d'employés de bureau en interne, en invitant le personnel à postuler à d'autres postes. Le TANU a également...

Le TANU a estimé que le DT de l'UNRWA avait identifié à juste titre que la norme de preuve pour placer l'agent en ALWOP était qu'il y ait des soupçons raisonnables ou des motifs raisonnables de croire que l'agent avait commis la faute alléguée.

Le TANU a rejeté l'argument de l'agent selon lequel le retrait par son ex-femme de la plainte déposée contre lui devant une juridiction nationale aurait dû mettre un terme à toutes les enquêtes menées à son encontre. Le TANU a noté que le tribunal national avait fourni les dossiers de l'affaire à l'Agence et que celle-ci, après une évaluation complète...

Le TANU a confirmé la détermination par le DT de l'UNRWA des chances de sélection de l'ancien membre du personnel pour le poste à un quart pour des raisons alternatives. Le TANU a estimé que le DT de l'UNRWA avait correctement pris en compte la possibilité que l'Office ait pu présenter d'autres candidats sur une base d'équivalence lors d'un second examen après la phase de présélection. En particulier, le Tribunal arbitral de l'UNRWA a estimé que, étant donné que le nombre suffisant de candidats pour un exercice de mise en concurrence se situe normalement entre trois et cinq candidats par poste...

Le TANU a estimé que le DT de l'UNRWA avait commis une erreur de droit en estimant que le cadre juridique applicable permettait au jury d'entretien de procéder à des évaluations techniques des candidats.Toutefois, le TANU a estimé que l'irrégularité procédurale du jury, qui a organisé une deuxième série d'entretiens de nature purement technique, n'était pas suffisante pour faire droit au recours, car l'issue du processus de recrutement aurait été la même.
Le TANU a estimé que le DT de l'UNRWA n'avait pas commis d'erreur en ce qui concerne l'incapacité de l'Office à appliquer correctement les...

Le Tribunal d'appel a estimé, en ce qui concerne l'exclusion de M. Qasem de la considération pour le poste de chef intérimaire, que le DT de l'UNRWA avait commis une erreur en estimant que la candidature de M. Qasem n'était pas recevable.Le Tribunal d'appel a toutefois estimé que, dans les circonstances de l'espèce, il était dans l'intérêt de l'économie judiciaire de réexaminer l'affaire sur le fond sans renvoi.Le Tribunal d'appel a estimé que si l'administration avait illégalement exclu la candidature de M. Qasem de l'examen, cette irrégularité n'avait eu aucune incidence sur la décision de...

L'UNAT a examiné un appel interjeté par le fonctionnaire.

L'UNAT a estimé que le raisonnement suivi par le DT de l'UNRWA pour refuser une audience parce que le fonctionnaire n'avait pas établi que son recours était recevable était ex post facto et, par conséquent, erroné.

L'UNAT a constaté qu'il y avait une erreur dans le calcul de l'indemnité par le DT de l'UNRWA en remplacement de l'annulation de la décision de non-sélection, car il n'y avait aucune preuve pour étayer la conclusion selon laquelle l'UNRWA l'aurait jugé inapte à occuper ce poste à la fin de la période. période de probation.

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Le commissaire général a fait appel.

L'UNAT a estimé que dans la mesure où la décision de l'Agence du 25 avril 2019 rejetant la demande de SPOA n'aurait pas pu être sans équivoque, cette décision a été réitérée dans le courrier électronique du 17 juin 2019, ne laissant aucun doute sur le fait que l'Agence avait alors décidé de payer Mme Abou Salah une SPOA de 15 pour cent au lieu de 25 pour cent, peut-être en violation de son contrat. Le fait que d’autres personnes aient par la suite cherché à intervenir en sa faveur n’y change rien.

L’UNAT a estimé que la correspondance ultérieure de Mme...

L'UNAT a examiné un appel déposé par des membres du personnel de l'UNRWA. L'UNAT a estimé que le DT de l'UNRWA avait eu tort de conclure que les lettres de rappel n'étaient pas des réprimandes destinées à permettre aux appelants de contester le placement des lettres dans leurs dossiers officiels. En effet, un tel rappel ne peut pas être considéré comme une action neutre, mais plutôt comme un avertissement concernant un éventuel non-respect du cadre réglementaire de l’Agence. L’UNAT a constaté qu’aux yeux d’une personne moyenne, un tel rappel s’apparente indéniablement à une réprimande.

L'UNAT...

L'UNAT a rejeté l'appel et a confirmé le jugement de l'UNRWA DT. L'UNAT a estimé que le DT de l'UNRWA avait conclu à juste titre que le décideur n'avait pas exercé correctement son pouvoir discrétionnaire, dans la mesure où l'Agence avait illégalement versé à Mme Jarallah une SPOA de 25 pour cent au lieu d'une SOA de 35 pour cent qui était stipulé dans son contrat. contrat d'embauche.

L'UNAT a constaté qu'il existait un contrat de travail valide et contraignant entre Mme Jarallah et l'Office. La description de poste contenue dans l'avis de vacance, faisant référence à la SOA de 35 pour cent...