2013-UNAT-281, Pacheco
Unat a jugé que l'appelant n'avait identifié aucune preuve qui contredisait les conclusions de l'UNDT concernant l'abolition de son poste. UNAT a rappelé le large pouvoir discrétionnaire de l'UNDT pour déterminer l'admissibilité des preuves et le pouvoir discrétionnaire de l'UNDT pour décider si la présence de témoins est requise et de limiter les preuves orales. Unat a jugé que l'appelant n'a pas démontré que UNDT avait commis une erreur en refusant d'entendre les preuves proposées. Unat a jugé que Undt avait commis une erreur en droit en autorisant le témoignage à son audience qui n'a pas été assermenté, affirmé, ni fait sous la promesse de dire la vérité. Cependant, Unat a jugé que l'appelant n'avait pas satisfait à l'UNAT que le jugement de l'UNDt comportait un ou plusieurs des cinq défauts prévus à l'article 2.1 (a) à (e) de la loi Unat. UNAT a rejeté l'appel.
La requérante a contesté la décision d'abolir son poste et de la séparer du service. UNDT a rejeté la demande, concluant que le demandeur n'avait pas présenté de preuves qui l'ont persuadé que l'abolition du poste était manifestement déraisonnable, motivée par une mauvaise volonté ou un régime calculé pour la retirer du bureau et qui justifiait l'ingérence de l'UNT avec le répondant de l'intimé discrétion.
Une organisation internationale a nécessairement le pouvoir de restructurer certains ou tous ses départements ou unités, y compris l'abolition des postes, la création de nouveaux postes et le redéploiement du personnel. UNDT a une large discrétion pour déterminer l'admissibilité des preuves et le poids à s'y attacher.