Sur le retard avant UNDT, Unat a convenu que le retard était regrettable, mais a estimé que le demandeur n'avait pas démontré qu'il s'agissait d'une erreur de procédure affectant l'issue de l'affaire. Unat a jugé que UNDT avait commis une erreur en exerçant son pouvoir discrétionnaire de gestion des cas lorsqu'il a refusé la demande d'audience orale, mais que cette erreur n'a pas affecté la décision de l'affaire. Unat a jugé que UNDT ne s'est pas trompé car il y avait des preuves claires et convaincantes que le demandeur avait commis un harcèlement sexuel. Unat a jugé que la sanction...
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Unat avait devant lui un appel du secrétaire général. Unat a jugé que UNDT avait commis une erreur en droit et en fait conduisant à une décision manifestement déraisonnable lorsqu'elle a jugé que M. Siddiqi n'avait pas menacé de tuer des membres du personnel identifiés, mais n'avait fait que menace non plus de «certains» membres du personnel. Unat a jugé que les déclarations des trois témoins ont rendu des preuves claires et convaincantes que l'appelant n'a pas seulement prononcé une menace non spécifiée, mais qu'il avait menacé de tuer des membres du personnel identifiés. Unat a jugé que Undt...
Unat a jugé que Undt avait commis une erreur en ne fixant aucun poids aux preuves médicales et en concluant que la mesure disciplinaire imposée était basée sur une détermination incorrecte de la nature et de la gravité de l'assaut. Unat a soutenu qu'il y avait d'autres facteurs plus importants à considérer, notamment le fait que l'appelant était un membre du personnel en charge de la sécurité locale et que sa conduite était un abus d'autorité et d'oppression d'un habitant local. Unat a rappelé que le test de proportionnalité nécessitait une comparaison entre l'inconduite et la sanction, et non...
Sur l’affirmation de l’appelant selon laquelle le juge UNDT a été biaisé, Unat a jugé que les allégations spécifiques de l’appelant n’avaient pas été présentées et que des faux pas dans la conduite de l’audience n’ont pas justifié une ingérence avec le résultat. Sur l'affirmation de l'appelant selon laquelle son superviseur l'a harcelé dans la mesure où ses actions étaient considérablement atténuées, Unat a soutenu que même si l'appelant établit qu'il y avait une relation dysfonctionnelle entre lui et son superviseur, cela n'aurait pas pu avoir pour effet d'atténuer ses actions De manière...
Unat a soutenu que UNDT avait raison de ne pas conclure que l'appelant avait initié le combat physique. Unat a jugé que UNDT avait le droit de conclure que la preuve d'un témoin n'était pas claire et convaincante, compte tenu des incohérences. Unat a jugé que UNDT a correctement déterminé qu'une altercation préalable ne pouvait pas fournir de preuves de propension pour corroborer les comptes des témoins sur la lutte physique parce que l'altercation préalable n'a pas été étudiée correctement. Unat a jugé que UNDT avait commis une erreur en concluant que l'appelant avait été indûment influencé...
Unat a soutenu qu'il n'y avait aucune difficulté en principe concernant l'admissibilité de la conversation secrètement enregistrée en fonction de la façon dont elle a été achetée, même si elle a pu impliquer un élément de piégeage; Cependant, l'UNAT craignait que la valeur probante des preuves ne dépendait de la crédibilité d'une personne qui n'a pas témoigné devant l'UNDT. Unat a noté que le contenu des e-mails contemporains qui soutenait la transcription de la conversation téléphonique est resté du ouï-dire à moins qu'il ne soit confirmé par les auteurs ou les destinataires des e-mails et qu...
UNAT a considéré un appel du commissaire général et un appel à l'appel de Mme Kaddoura. Unat a confirmé le jugement de l'UNRWA DT en partie. Il n'a fait que référence à l'ancien commissaire général de responsabilité, concluant qu'il n'était pas suffisant pour compter sur le ouï-dire pour référer un ancien membre du personnel, que ce soit l'ancien commissaire général ou toute autre, à la responsabilité. Unat a en outre soutenu qu'il n'y avait aucune possibilité d'imposer une mesure disciplinaire à un ancien membre du personnel, et à ce titre, une telle référence serait inefficace.
Unat a jugé que les preuves étaient claires et convaincantes que l'appelant était sous l'influence de l'alcool lorsqu'il est entré dans sa voiture avant que l'accident ne se produise et que l'UNDT a commis une erreur en concluant le contraire. Unat a jugé que sa conduite était en violation du règlement 1.2 (f) du personnel et du code de conduite MINUSMA. Unat a soutenu que: il n'y avait aucune preuve enregistrée que l'appelant était autorisé à porter son arme à feu pendant son séjour; Cela, au contraire, les preuves enregistrées ont montré que normalement les gardes de sécurité ne portaient...
Unat a considéré un appel du secrétaire général. Unat a jugé que l'UNDT avait commis une erreur en fait et en droit dans sa conclusion que les faits d'inconduite n'ont pas été établis par des preuves claires et convaincantes. Unat a jugé qu'un certain nombre des conclusions factuelles faites par UNDT n'étaient pas étayées par la preuve et étaient déraisonnables. Unat a soutenu que l'UNDT aurait dû se limiter à déterminer si le secrétaire général était au sein de son pouvoir d'imposer des mesures disciplinaires à M. Hossain, et qu'en spéculant sur l'inconduite d'un autre individu, l'ANDT a...
Unat a considéré un appel du Secrétaire général des Nations Unies. Unat a jugé que la conduite prouvée de M. Khamis ne constituait pas elle-même une faute: il ne s'est pas engagé dans les relations sexuelles transactionnelles avec les personnes locales et ses relations sexuelles avec deux femmes locales étaient davantage dans la nature des domestiques, bien que polygames et ouverts, des relations. Unat a jugé qu'il n'était pas établi que les paiements effectués aux deux femmes étaient des transactions commerciales en échange de faveurs sexuelles. Unat a soutenu qu'il n'y avait pas un tel...