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Harcèlement (non sexuel)

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UNDT/2024/112, Turcanu

Le requérant a contesté la légalité, la raison et l’équité de la décision du Bureau de l’audit interne et des enquêtes (« OIAI ») de ne pas ouvrir d’enquête sur sa plainte pour harcèlement et abus de pouvoir présumés. Il a affirmé que si les questions liées au travail ne constituent normalement pas une conduite interdite, la politique de l’UNICEF sur les conduites interdites n’exclut pas que les questions liées au rendement soient considérées comme du harcèlement et de l’abus de pouvoir.

La question soumise au Tribunal était de déterminer si les arguments du requérant relèvent des désaccords...

Demande d'anonymisation du requérant

Le Tribunal a estimé que la présente affaire n'est pas comparable à l'affaire AAE 2023-UNAT-1332 car le requérant ne fait référence qu'au « préjudice que cette affaire lui a causé » et aux « informations sensibles » mentionnées dans l'affaire sans fournir d'autres raisons pour lesquelles le Tribunal s'écarterait des principes de transparence et d'obligation de rendre compte. Par conséquent, la requête du requérant a été rejetée.

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Le Tribunal a précisé que la réaffectation du requérant à un poste correspondant à son nouveau niveau P-5 après sa...

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Le défendeur a contesté la recevabilité de la requête. Toutefois, le Tribunal l'a jugée recevable car il a considéré que la requérante contestait la décision de ne pas ouvrir d'enquête sur sa plainte pour conduite potentiellement interdite, et non le résultat de l'évaluation de la gestion comme le soutenait le défendeur.
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Le Tribunal a rappelé qu'il n'est pas mandaté pour mener une nouvelle enquête sur l'affaire, ni pour tirer ses propres conclusions des éléments de preuve. Il est plutôt chargé de déterminer si l'évaluation préliminaire a été menée correctement sur la base...

Le TANU a observé que le Secrétaire général avait choisi de limiter la portée de son appel aux seules conclusions du TANU concernant deux des neuf cas de faute présumée de la part de l'ancien fonctionnaire. Le TANU a également reconnu que le Secrétaire général soutenait que le TANU avait commis une erreur de droit en appliquant les critères juridiques du harcèlement et du harcèlement sexuel aux deux incidents.
Néanmoins, le TANU a estimé que pour trancher la question en appel, il ne suffisait pas d'appliquer le bon critère juridique. Pour parvenir à des conclusions, il ne suffit pas de tenir...

Le TANU a estimé que le Bureau de l'inspecteur général (IGO) et l'administration n'avaient pas correctement pris en compte les facteurs pertinents portés à leur attention au cours de l'enquête sur les fautes commises par l'agent. En particulier, ils n'ont pas pris en compte le contexte médical dans lequel la faute a été commise, qui aurait pu être disculpatoire pour l'agent. Le TANU a constaté qu'ils n'avaient pas examiné et apprécié les effets potentiels de la tumeur cérébrale et/ou du traitement de l'agent sur certains aspects de ses relations interpersonnelles avec d'autres membres du...

Rien ne prouve que les faits pris en considération pour étayer la conclusion de l'enquêteur concernant le "comportement antérieur" aient fait l'objet d'une enquête en bonne et due forme jusqu'au seuil de la preuve claire et convaincante. Par conséquent, l'évaluation de la crédibilité faite par l'administration en utilisant des preuves de comportement antérieur ne peut pas être maintenue, et les preuves de comportement antérieur alléguées n'ont pas été prises en compte par ce Tribunal dans son examen judiciaire des faits.
En ce qui concerne l'allégation selon laquelle le requérant a harcelé...

L’UNAT a estimé qu’il y avait une nette disjonction dans la décision du Tribunal du contentieux des Nations Unies de faire droit à la demande de M. Nair uniquement en ce qui concerne les mesures disciplinaires (mais pas les mesures administratives), et en même temps d’annuler la décision disciplinaire elle-même. Le TANU a noté la confusion suscitée par la conclusion du Tribunal du Tribunal selon laquelle « aucune faute n'a eu lieu », tout en admettant que M. Nair avait « réagi et utilisé un langage hostile à plusieurs reprises » ce qui justifiait, de l'avis du Tribunal, l'imposition de mesures...

M. Nastase a fait appel du jugement du Tribunal.

Le TANU a confirmé la conclusion du TDNU selon laquelle il n'avait pas été établi par des preuves que la décision administrative de classer sa plainte était motivée par un parti pris à son encontre et était donc illégale.

L'UNAT a rejeté l'affirmation de M. Nastase selon laquelle le Tribunal avait commis une erreur en concluant que le fait qu'en 2019, M. Nastase avait déposé une plainte contre le CIOS pour mauvaise conduite n'avait aucun rapport avec ses problèmes de performance. L'UNAT a estimé que ces événements ne faisant pas partie de sa...

2023-UNAT-1361, AAO

L'UNAT a estimé que le jugement du Tribunal était problématique parce que les conclusions du Tribunal semblaient être entièrement fondées sur des preuves par ouï-dire, c'est-à-dire les conclusions du rapport d'enquête du BSCI. L'UNAT a observé que le jugement du Tribunal n'a pas expliqué les éléments de preuve sur lesquels reposait sa conclusion selon laquelle le harcèlement sexuel était hautement probable, et n'a formulé aucune conclusion explicite ou précise concernant les témoignages présentés sous serment à l'audience. L’incapacité du Tribunal à tirer des conclusions sur les témoignages qu...

L'UNAT a rejeté l'appel. L'UNAT a jugé que l'UNT ne s'est pas trompé en concluant que M. Reiterer avait commis l'inconduite présumée. L'UNAT a convenu de la conclusion de l'UNDT que les faits établis équivalaient à une faute de la part de M. Reiterer, à savoir qu'il a violé ST / SGB / 2008/5 concernant le chef et le ST / AI / 2013/4 concernant le chef deux. L'UNAT a en outre constaté que, compte tenu de la nature et des faits spécifiques entourant l'inconduite de M. Reiterer, la sanction de la rétrogradation par une catégorie avec un report, pendant un an, d'admissibilité à l'examen de la...