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En tant que problème préliminaire, Unat a jugé que l'UNRWA DT n'avait pas suivi la procédure appropriée lorsqu'elle a permis à l'intimé de participer à la procédure sans demande officielle de dérogation de délai de dépôt de sa réponse et de participer au procès. Unat a jugé qu'une autre irrégularité importante avait eu lieu au cours de la procédure avant Unrwa dt, dont la lumière a été obligée d'annuler le jugement et de renvoyer l'affaire pour une contrepartie de novo par un autre juge Unrwa dt, à savoir que Unrwa dt a commis une erreur dans La procédure lorsqu'elle a nié la demande de l...

Unat a jugé que l'appelant, bien que autorisé à recevoir un résumé des conclusions du rapport d'enquête, n'avait pas le droit de recevoir une copie du rapport d'enquête complet sans montrer de circonstances exceptionnelles, ce qu'il n'a pas fait et non, donc, a donc confirmé les conclusions de undt sur ce point. Lors de l'indemnisation, Unat a noté que l'appelant n'a présenté aucune preuve pour prouver que la violation de la date limite de trois mois a compromis l'enquête et l'issue de la plainte, ou qu'il a subi un préjudice réel. Unat a jugé que l'offre de l'administration de 1 000 USD était...

Unat a jugé que les appelants n'avaient présenté aucune preuve montrant qu'ils avaient subi une détresse mentale au cours de l'enquête, et ces preuves étaient nécessaires pour une attribution de dommages-intérêts moraux. Unat a jugé qu’il n’y avait aucun fondement dans la réclamation de l’appelant selon laquelle l’UNRWA DT avait commis une erreur en ne leur accordant pas une compensation pour le long retard administratif au cours de l’enquête. UNAT a rejeté l'appel et a confirmé le jugement de l'UNRWA DT.

Unat a jugé que l'appelant n'avait pas fait preuve de preuve de circonstances exceptionnelles pour justifier la nécessité de soumettre de nouvelles preuves ou de déposer des plaidoiries supplémentaires et, par conséquent, a rejeté la requête de l'appelant. UNAT a rejeté la demande d'audience orale constatant qu'elle ne contribuerait pas à l'élimination rapide et équitable de l'affaire. Unat a soutenu que l'UNRWA DT n'était pas tenu de définir ses conclusions sur chaque soumission présentée par l'appelant et le non-respect de cela ne constituait pas une erreur de la partie de l'UNRWA DT. Unis a...

En tant que question préliminaire, Unat a rejeté la requête de l’appelant pour apporter des preuves supplémentaires sous la forme d’un affidavit par lui pour l’absence de circonstances exceptionnelles. Unat a jugé que le Bureau des services d'audit et d'enquête (OAIS) ne prenait aucune décision qui a eu un impact sur les droits de l'appelant matériellement, défavorable ou n'a eu que de la PNUD. Unat a jugé que la recommandation de l'OAIS n'était pas une décision administrative. Unat a jugé que UNDT avait raison de soutenir que l'appel concernant l'enquête n'était pas à recevoir ratione...

Le secrétaire général a fait appel. Unat a jugé que Undt avait commis une erreur en droit lorsqu'il a conclu qu'il y avait une violation des droits de la procédure régulière de M. Elobaid, car M. Elobaid était correctement informé des allégations contre lui, ce qui pourrait conduire à une action administrative et a eu l'occasion de faire des représentations contre la mesure prise. Unat a jugé que UNDT avait commis une erreur en fait, résultant en une décision manifestement déraisonnable, lorsqu'elle a supposé que la réprimande provenait de M. Ward, du programme de soutien et de gestion du...

Unat a convenu avec l'UNRWA DT que la décision contestée était un exercice légal du pouvoir discrétionnaire. En ce qui concerne l'affirmation de l'appelant selon laquelle le processus a été entaché en raison du délai de temps depuis que la plainte de comportement s'est produite (dix ans) et en raison de la nature du ouï-dire des preuves, Unat a expliqué que ces mêmes arguments ont été avancées à la fois au DT et au DT et au Administration pendant la phase d'enquête. Le tribunal a convenu avec l'UNRWA DT qu'il y avait suffisamment de preuves corroborantes pour soutenir les allégations. Le...

Unat a considéré un appel de Mme Modey-Ebi. UNAT a noté que les questions de l'appel étaient entièrement factuelles, dont la plupart ont été résolues dans le dossier de preuve qui, à la plupart, a établi un modèle d'inconduite justifiant le licenciement. Unat a noté que si certaines des allégations prouvées contre Mme Modey-Ebi étaient moins graves que d'autres, cumulativement, ils ont révélé un schéma de conduite contraire à l'éthique indiquant que Mme Modey-Ebi n'était pas adaptée au poste supérieur qu'elle occupait. Son comportement a révélé un manque de convenance et d'intégrité et son...

La principale preuve contre le demandeur était le témoignage du conducteur qui a affirmé qu'on lui avait demandé au demandeur d'amener un carton à Dawa. L'intimé a affirmé qu'une imprimante était absente de la liste des stocks. Le témoignage du conducteur a été crédible, d'autant plus qu'il a pu fournir des détails précis sur le code à barres de l'imprimante et le numéro de série. Compte tenu des preuves écrasantes que le demandeur avait montré un schéma d'inconduite, y compris le stockage de matériel obscène sur son ordinateur officiel, le tribunal était convaincu que l'intimé a établi un cas...

Plus une allégation est grave contre un membre du personnel et la sanction des participants, plus le degré de preuve est élevé. L'établissement de la responsabilité pénale dans les enquêtes et les procédures judiciaires, même dans le contexte d'une affaire civile comme celle-ci, doit nécessairement exiger qu'une norme supérieure à celle ordinaire d'un équilibre des probabilités soit atteinte. Le manuel des enquêtes de l'OIOS exige que les enquêteurs abordent les questions avec un «esprit ouvert» et souligne que leur tâche est de «établir des faits» et de tirer des «conclusions raisonnables» de...