Il n’a pas été contesté et établi par des preuves claires et convaincantes que la requérante s’est livrée à plusieurs activités extérieures. Il n’a pas non plus été contesté qu’il lui avait été conseillé de demander une autorisation pour ses activités en ligne. La contestation de la requérante se limite donc à la caractérisation de la conduite établie comme activités extérieures et, par conséquent, comme faute.
Que les faits sur lesquels la mesure disciplinaire était fondée aient été établis par des preuves claires et convaincantes
Sur la base des éléments de preuve versés au dossier, le...
Après avoir examiné les éléments de preuve au dossier, le Tribunal identifie les questions suivantes à trancher :
Le requérant a-t-il droit à un congé parental en vertu de la disposition 6.3 du Règlement du personnel ?
Le Tribunal a conclu que le requérant, dont l’enfant est né le 2 mai 2022, avait droit à quatre semaines de congé de paternité ou à huit semaines de congé d’adoption en vertu du Règlement du personnel de 2018 et de la ST/AI/2005/2, qu’il a exercé. Il n’a pas été, comme il le prétend, « placé dans un no man’s land entre deux [instructions administratives] ».
Le fait que le requérant...
Le Tribunal a estimé que la contestation par le requérant de la décision du 19 juillet 2021 de le placer sous ALWP était prescrite car le requérant n'a pas demandé l'évaluation de la gestion de cette décision dans le délai imparti. Le Tribunal a estimé que les décisions ultérieures de prolonger le placement du requérant en ALWP étaient légales.
Le Tribunal a estimé que le refus persistant du requérant de remplir les évaluations e-PAS 2018/2019 pour les membres du personnel pour lesquels le requérant était le premier notateur (« FRO ») et de s'engager avec KJ constituait une faute. Le...
La demande d'évaluation de la gestion présentée par le requérant le 16 septembre 2023 n'a pas été déposée dans les délais, car elle a été déposée après l'expiration du délai de 60 jours prévu par la règle 11.2(c) du Règlement du personnel. Toutefois, il n'y a pas de question d'autorité de la chose jugée dans le cas présent.
En l'absence d'informations et/ou de preuves supplémentaires, le DSS/SSS a en effet agi dans le cadre de son pouvoir discrétionnaire en vertu de l'article 1.2(c) du Statut du personnel et de l'art. 100.2 de la Charte des Nations Unies, en décidant de ne pas donner suite à la...
FrançaisLe Tribunal a estimé que le défendeur n'avait fourni aucune explication contextuelle fondée sur une règle ou un précédent pour étayer sa position. Le Tribunal a donc conclu que le défendeur n'avait fourni aucune explication rationnelle pour avoir privé la requérante des droits aux augmentations accordées en vertu du barème des salaires GS 120b à des personnes se trouvant dans une situation similaire. En conséquence, le Tribunal :
a. A décidé d'annuler la décision contestée ;
b. A ​​ordonné que la requérante soit reconnue comme ayant été en service continu au Secrétariat des Nations...
La demande est rejetée comme non recevable.
The Tribunal found that in this case, the evidence adduced by the Respondent was neither clear nor convincing. Accordingly, the Tribunal held that the Respondent had failed to show that it was highly probable that the Applicant had committed the alleged misconduct and thus had failed to meet its burden of proof. Accordingly, the Tribunal decided to:
a. Rescind the decision to separate the Applicant from service;
b. Set the amount of compensation that the Respondent may elect to pay in lieu of implementing the rescission at two years net salary with interest at the US prime rate from...
Le Tribunal a observé que la lettre communiquant la décision contestée n'indiquait pas si l'Organe consultatif sur les demandes d'indemnisation (« ABCC ») avait pris en compte les circonstances exceptionnelles exposées par la requérante dans sa demande de réouverture de sa demande, qui expliquaient les raisons pour lesquelles elle n'avait pas respecté le délai de soumission.
Le Tribunal a donc estimé que la requérante avait réussi à établir que la décision de ne pas rouvrir sa demande était irrationnelle. Le Tribunal a jugé que la décision contestée était irrationnelle parce que l'ABCC avait...
La mesure transitoire prévue par le nouveau régime de congé parental accorde 10 semaines supplémentaires de congé spécial avec plein salaire (« SLWFP ») aux membres du personnel qui étaient déjà en congé de maternité au 1er janvier 2023. Cette mesure a été créée pour faciliter la transition entre l’ancien régime de congé parental et le nouveau, et pour permettre un traitement équitable et juste des membres du personnel devenus parents en donnant naissance.
Le Tribunal a estimé que la mesure transitoire était une solution juste, raisonnable et rationnelle. En vertu de cette mesure, tous les...
Le Tribunal a estimé que l’ABCC avait mis un temps démesuré (près de cinq ans) à traiter la demande d’indemnisation de la requérante suite au décès de son mari.
L’objectif même de l’indemnisation d’un fonctionnaire pour un préjudice subi (ou de l’indemnisation d’un bénéficiaire pour le décès d’un proche) est d’atténuer ses souffrances et de le placer dans la situation où il se serait trouvé si le préjudice n’avait pas eu lieu. À cet égard, la question pertinente n’est pas de savoir si la demande d’indemnisation est acceptée ou rejetée, mais si une décision sur la question est prise en temps...