51³Ô¹Ï

Showing 11 - 20 of 831

La mesure transitoire prévue par le nouveau régime de congé parental accorde 10 semaines supplémentaires de congé parental à durée déterminée aux membres du personnel qui étaient déjà en congé de maternité au 1er janvier 2023. Cette mesure a été créée pour faciliter la transition entre l’ancien régime de congé parental et le nouveau, et pour permettre un traitement équitable et juste des membres du personnel devenus parents en donnant naissance. La requérante avait cependant épuisé ses droits au congé de maternité et était en congé annuel au 1er janvier 2023.

Le Tribunal n’a pas jugé fondé son...

Le Tribunal a rappelé qu'il n'est pas compétent pour examiner les requêtes émanant de personnes qui ne sont pas membres du personnel.

Le Tribunal a estimé que la requête n'était pas recevable ratione personae parce qu'à la date d'introduction de la présente requête, le requérant n'était pas membre du personnel des Nations Unies et que la décision contestée n'avait aucune incidence sur le statut du requérant en tant qu'ancien membre du personnel ou ne violait pas les termes de son ancienne nomination ou de son ancien contrat d'emploi.

Dans ces circonstances et compte tenu du fait que la requête n...

UNDT/2024/114, Mehta

¸é±ð³¦±ð±¹²¹²ú¾±±ô¾±³Ùé
La requérante allègue qu'on lui a demandé de travailler en juillet et août 2022, avant le début de son engagement, en lui garantissant qu'elle serait indemnisée pour cette période. Cependant, elle n'a pas reçu cette compensation.

Tout d'abord, le Tribunal a noté que la requérante n'était pas membre du personnel en juillet et août 2022, lorsqu'elle affirme avoir été obligée de travailler, car son engagement auprès du PNUD n'a commencé que le 1er septembre 2022. Par conséquent, la requérante n'avait pas qualité pour contester une telle décision à l'époque.

Deuxièmement, même en...

Demande d'anonymisation du requérant

Le Tribunal a estimé que la présente affaire n'est pas comparable à l'affaire AAE 2023-UNAT-1332 car le requérant ne fait référence qu'au « préjudice que cette affaire lui a causé » et aux « informations sensibles » mentionnées dans l'affaire sans fournir d'autres raisons pour lesquelles le Tribunal s'écarterait des principes de transparence et d'obligation de rendre compte. Par conséquent, la requête du requérant a été rejetée.

¸é±ð³¦±ð±¹²¹²ú¾±±ô¾±³Ùé

Le Tribunal a précisé que la réaffectation du requérant à un poste correspondant à son nouveau niveau P-5 après sa...

Le Tribunal a examiné les éléments de preuve versés au dossier et les raisons invoquées par le défendeur pour ne pas sélectionner le requérant et a conclu que, sur la base des informations fournies par le requérant, la décision du défendeur de ne pas le sélectionner ne pouvait pas être considérée comme injuste. Le candidat n'avait pas la certification CIPS niveau 2 qui était une exigence obligatoire pour le poste, et il n'a pas prouvé qu'il avait deux ans d'expérience progressive dans la gestion des achats.

En outre, la suggestion du candidat dans ses observations selon laquelle le jury de...

¸é±ð³¦±ð±¹²¹²ú¾±±ô¾±³Ùé
Le défendeur a contesté la recevabilité de la requête. Toutefois, le Tribunal l'a jugée recevable car il a considéré que la requérante contestait la décision de ne pas ouvrir d'enquête sur sa plainte pour conduite potentiellement interdite, et non le résultat de l'évaluation de la gestion comme le soutenait le défendeur.
µþ¾±±ð²Ô-´Ú´Ç²Ô»åé
Le Tribunal a rappelé qu'il n'est pas mandaté pour mener une nouvelle enquête sur l'affaire, ni pour tirer ses propres conclusions des éléments de preuve. Il est plutôt chargé de déterminer si l'évaluation préliminaire a été menée correctement sur la base...

¸é±ð³¦±ð±¹²¹²ú¾±±ô¾±³Ùé

Le requérant a fait valoir à juste titre qu’il ne contestait pas la promulgation de l’AI de mobilité. Il ressortait clairement du contenu de la requête qu’il ne contestait pas l’existence de l’AI de mobilité en tant que décision réglementaire du Secrétaire général affectant tous les membres du personnel. Au contraire, il contestait l’impact de ce qu’il percevait comme une décision spécifique prise après avoir accepté l’offre d’emploi, à savoir que l’AI de mobilité serait une condition de son contrat de travail. Le Tribunal a donc jugé la requête recevable.

Fonds

Le Tribunal a...

Les déclarations verbales générales, qui, selon le requérant, ont été faites par son premier notateur lors de réunions d’équipe, ne peuvent constituer une promesse expresse de renouvellement de son TA. Plus important encore, ces déclarations verbales ne contenaient pas les éléments essentiels d’une offre de renouvellement appropriée et concrète, tels que la durée de la prolongation et le nom de la personne nommée. En outre, le Tribunal a conclu qu’aucun engagement officiel n’avait été pris par écrit envers le requérant pour justifier une attente de renouvellement de son TA.

Le Tribunal a...

Le Tribunal a établi que la requérante avait été dûment informée, avant d’accepter la lettre d’offre, du caractère obligatoire de la condition de mobilité dans son emploi proposé. Cependant, même si la mobilité obligatoire n’avait pas été aussi explicite dans les documents préalables à la nomination, le cadre réglementaire stipule à la règle 4.1 du Règlement du personnel que c’est la lettre de nomination (LOA) qui contient expressément ou par référence les conditions d’emploi.

Par conséquent, lorsque la requérante a signé sa LOA le 3 octobre 2023, acceptant dûment toutes les conditions d...

Le Tribunal a rappelé que le cadre réglementaire relatif à la résiliation pour faits antérieurs ne se limite pas aux cas où il y a eu une constatation factuelle antérieure prouvée de faute ou une condamnation pour crime. Ce qui est requis, c’est qu’il doit y avoir un fait antérieur qui porte atteinte à l’aptitude du candidat à la fonction en raison de préoccupations d’efficacité, de compétence et d’intégrité. Le fait doit être d’une nature si grave qu’il aurait empêché la nomination du fonctionnaire s’il avait été divulgué à l’Organisation au cours du processus de recrutement.

En l’espèce, le...