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Article 2

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Le TANU a estimé que l'invocation par le requérant de l'article 2 du statut du TANU pour sa demande de révision était malavisée et, en tant que telle, n'était pas recevable et manquait de fondement. Le TANU a néanmoins examiné sa demande de révision dans le cadre juridique approprié, à savoir l'article 11 du statut du TANU et l'article 24 du règlement intérieur du TANU.

Le TANU a estimé que, hormis le fait que la demande avait été déposée dans un délai d'un an à compter de l'arrêt du TANU en question, la demande de révision ne répondait à aucune des exigences statutaires. Aucun fait découvert...

e Tribunal d'appel a estimé que le TNDU avait correctement jugé que le BSR avait toute latitude pour faire des commentaires sur les performances de Mme Abdellaoui, que les commentaires contestés du BSR étaient raisonnables et équilibrés par d'autres commentaires qui fournissaient une perspective positive à l'appui de l'évaluation globale, et qu'en tant que tels, ils ne portaient pas atteinte à l'évaluation globalement satisfaisante. En conséquence, le Tribunal d'appel a souscrit à la décision de l'UNDT selon laquelle l'évaluation des performances contestée n'était pas une « décision...

Le TANU a noté que l'essence de la décision administrative était que l'agent n'avait pas le droit d'encaisser des congés annuels non utilisés provenant d'un second engagement pris dans les 12 mois suivant l'abandon d'un premier engagement après lequel ces congés avaient été commués.

Le TANU a observé que la demande d'évaluation de l'encadrement formulée par l'agent faisait référence au prétendu "manquement persistant" de l'administration à l'obligation d'indemniser l'agent pour le rachat de ses congés annuels. Le TANU a estimé que cette référence renforçait la conclusion selon laquelle c...

Le courriel du conseil de la requérante du 12 juin 2023 n'a pas réinitialisé le délai pour permettre à la requérante de contester tous les commentaires de son superviseur dans son RAP, et il n'était pas non plus susceptible de suspendre le délai, étant donné que le délai de la requérante pour contester tous les commentaires de son superviseur a expiré avant la discussion du 12 juin 2023. Et comme il a été dit, il s'agissait d'une proposition dans le cadre d'une discussion inter partes qui n'impliquait pas le Bureau du Médiateur.

Étant donné que la requérante a obtenu le redressement qu'elle...

La question cruciale en appel était de savoir si le Tribunal du contentieux administratif avait commis une erreur en soumettant à la responsabilité uniquement le chef des enquêtes de l'OIAI, mais pas le directeur général et les autres membres du personnel de l'UNICEF. L’UNAT a estimé qu’il n’y avait pas d’erreur dans le jugement du Tribunal du contentieux administratif, car le Tribunal du contentieux administratif avait le pouvoir discrétionnaire de rejeter la demande de renvoi du requérant. L’approche juridique du Tribunal était correcte. Le Tribunal du contentieux administratif a décidé de...

Les documents au dossier, et en particulier le préavis de licenciement, montrent que le requérant était employé par une société privée. Hormis la déclaration non étayée du requérant dans son formulaire de renseignements personnels lors du dépôt de ses observations, selon laquelle son bureau de travail était le "CCI", il n'y a aucune preuve au dossier montrant qu'il a une relation contractuelle avec l'Organisation des Nations Unies au sens de l'article 3 du Statut du Tribunal. 3 du Statut du Tribunal. En tant que tel, le requérant n'a pas de locus standi devant ce Tribunal.


En outre, si le...

L'UNAT a rejeté l'appel. L'UNAT a constaté que l'UNDT avait commis une erreur en concluant que la demande n'était pas à recevoir Ratione Personae et Ratione Materiae. L'UNAT a jugé que le refus d'enquêter sur sa plainte constituait une décision administrative appelable et que la demande était donc à recevoir ratione materiae. En outre, étant donné que, dans ce cas, la prétendue abus aurait été la justification inappropriée de la séparation du service de M. Ross, en tant qu'ancien membre du personnel, il était suffisamment lié à son emploi pour conférer la compétence de la personae Ratione. En...

M. Russo-Got a fait appel. L'UNAT a jugé que les preuves ont incontestablement établi que M. Russo-Got n'avait contesté aucune décision de liste noire dans sa demande d'évaluation de la gestion. De plus, bien que la demande contenait des références à plusieurs postes pour lesquels il avait postulé et n'avait pas été sélectionné, il n'a demandé une évaluation de gestion d'aucune décision de sélection et n'a fait appel d'aucune décision de sélection particulière dans sa demande à l'UNDT. L'UNAT a constaté que l'UNDT n'avait donc pas commis une erreur en concluant que les réclamations dans la...

L’avis et son placement dans le personnel du demandeur notant que la décision en cause est une réprimande écrite imposée pour lutter contre la conduite insatisfaisante d’un membre du personnel à la suite d’une enquête sur une altercation, le tribunal estime que la décision en cause constitue une mesure administrative en vertu de la SEC. 2.1 (d) de ST / AI / 2017/1 (conduite insatisfaisante, enquêtes et processus disciplinaire). Le fait qu’une réprimande n’est pas une mesure disciplinaire «ne signifie pas qu’une réprimande n’a pas de conséquences juridiques, qui sont au détriment de son...

Le Tribunal a estimé que les deux requêtes déposées portaient sur le même objet et la même cause d'action entre les mêmes parties. Il y a eu en substance une décision administrative refusant de renouveler un engagement de durée déterminée et la première demande était litispendance lorsque la deuxième demande a été introduite. Le Tribunal a en outre estimé que le Requérant avait reconnu la même chose dans sa requête en fusion des deux affaires et oralement lors d'une discussion sur la gestion de l'affaire tenue le 6 juillet 2022. Le Tribunal a déterminé qu'il n'y avait pas lieu de fusionner et...