Demande d'anonymisation du requérant
Le Tribunal a estimé que la présente affaire n'est pas comparable à l'affaire AAE 2023-UNAT-1332 car le requérant ne fait référence qu'au « préjudice que cette affaire lui a causé » et aux « informations sensibles » mentionnées dans l'affaire sans fournir d'autres raisons pour lesquelles le Tribunal s'écarterait des principes de transparence et d'obligation de rendre compte. Par conséquent, la requête du requérant a été rejetée.
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Le Tribunal a précisé que la réaffectation du requérant à un poste correspondant à son nouveau niveau P-5 après sa...
En ce qui concerne la décision de ne pas convoquer un groupe d'enquête, le Tribunal a rappelé sa jurisprudence qui indique qu'une enquête ne peut être entreprise que s'il existe des motifs suffisants de croire qu'un membre du personnel a eu une conduite insatisfaisante. En l'espèce, le Tribunal a conclu que le requérant n'avait pas fourni de motifs suffisants à l'appui de sa demande.
En ce qui concerne la deuxième décision contestée, le Tribunal s'est également référé à sa jurisprudence constante qui indique qu'il n'y a pas de droit à l'allocation de subsistance. Le Tribunal a plutôt observé...
Le Tribunal a conclu que le défendeur n'était pas en mesure de démontrer que les faits sur lesquels la mesure disciplinaire était fondée étaient établis par des preuves claires et convaincantes, comme l'exige par ailleurs le Tribunal d'appel dans sa jurisprudence.
Ayant conclu que les faits sur lesquels était fondée la mesure disciplinaire n'avaient pas été établis par des preuves claires et convaincantes, le Tribunal a également conclu qu'il n'y avait pas de faute avérée de la part du requérant.
Compte tenu du constat d'absence de faute du Requérant, le Tribunal a également annulé la sanction...
Le Tribunal a observé que les faits de cette affaire étaient très clairs d'après les témoignages et le dossier. Le Tribunal a également noté que le requérant avait admis sa faute lors de son entretien avec l'enquêteur. Par conséquent, le Tribunal a conclu, sur la base de preuves claires et convaincantes, que le requérant avait commis une fraude, une conduite interdite.
En ce qui concerne l'inconduite, le Tribunal a conclu que le requérant avait commis une fraude. Par conséquent, ses actions constituent une faute grave.
En ce qui concerne le volet relatif à la régularité de la procédure, le...
Le Tribunal a statué :
a. Tout report de la communication à la caisse de retraite des informations relatives à la cessation de service du requérant ne peut être justifié que dans un délai raisonnable ; la prolongation indéfinie d'une enquête violerait les droits contractuels d'un membre du personnel à la liquidation de ses droits définitifs ainsi que le droit à une définition en temps utile de toute procédure disciplinaire éventuelle à son encontre.
b. La durée prolongée de l'enquête ne justifiait pas la retenue du dernier paiement et de la pension du requérant pendant une période aussi...
En ce qui concerne la première décision contestée, le Tribunal a estimé que le droit de connaître le contenu du rapport, bien que résumé, est implicite dans le droit d'un membre du personnel de porter plainte contre des tiers (droit déjà reconnu dans l'affaire Belkhabbaz, UNDT/2021/047 au paragraphe 21) parce que ce droit inclut le droit de connaître les raisons pour lesquelles l'Administration n'a pas sanctionné la personne accusée.
Le Tribunal a donc conclu que le requérant avait le droit de recevoir de l'administration le rapport dans son intégralité, avec des expurgations raisonnables. Il...
Le Tribunal a défini les questions générales de la présente affaire comme suit :
Le requérant a-t-il délibérément induit l'Organisation en erreur ?
Bien qu'il y ait eu de nombreux désaccords factuels entre les parties, y compris en ce qui concerne les détails des gains financiers et des transactions dans lesquelles le requérant était impliqué, le Tribunal a estimé qu'il n'était pas nécessaire de résoudre tous ces différends dans le cadre de cet exercice de contrôle judiciaire. Le requérant a admis ses relations financières étendues avec M. David Kendrick et qu'il n'avait pas divulgué ces...
Le requérant a démontré qu'il a postulé sans relâche à des postes et qu'il était qualifié pour un certain nombre de postes dans le cadre de l'exercice de rotation et de réaffectation du personnel d'encadrement (« SSRRE »). Selon le dossier, il a postulé à au moins 11 postes entre 2019 et 2022. Cet élément et les autres facteurs soulevés dans l'affaire ont persuadé le Tribunal d'accorder au requérant deux années de salaire de base net au lieu d'une réintégration.
Le Tribunal a ordonné l'annulation des décisions contestées de ne pas retenir le requérant au service de l'UNICEF et de ne pas le...
La mesure transitoire prévue par le nouveau régime de congé parental accorde 10 semaines supplémentaires de congé parental à durée déterminée aux membres du personnel qui étaient déjà en congé de maternité au 1er janvier 2023. Cette mesure a été créée pour faciliter la transition entre l’ancien régime de congé parental et le nouveau, et pour permettre un traitement équitable et juste des membres du personnel devenus parents en donnant naissance. La requérante avait cependant épuisé ses droits au congé de maternité et était en congé annuel au 1er janvier 2023.
Le Tribunal n’a pas jugé fondé son...
Le défendeur s'est acquitté de la charge de la preuve minimale en démontrant que les décisions relatives à la suppression du poste du requérant, entraînant le non-renouvellement de son engagement à durée déterminée et sa cessation de service, étaient légales. Les témoins étaient crédibles, leurs preuves étaient convaincantes, fiables, cohérentes et corroborantes. Ils n'ont pas été contredits de manière significative. Après avoir examiné les témoignages du requérant et de ses témoins, le Tribunal n'est pas convaincu que le requérant a présenté des arguments clairs et convaincants pour renverser...